Le
Marais de l’Arosco s'étend sur plusieurs centaines de kilomètres carrés. Il est formé par les eaux excédentaires du lac
Virona qui s’y infiltrent.
Géographie
Le Marais de l’Arosco s’étend au centre de la
Péninsule Tuscienne, entre les lacs
Virona et
Ledra.
Climat
Le marais est perpétuellement humide. Chaque matin, il est baigné d’une brume épaisse qui monte du sol gorgé d’eau.
Description
Le Marais de l’Arosco est couvert d’un labyrinthe végétal de roseaux, de fougères géantes et de cyprès aux racines aériennes. C’est également une source précieuse d'herbes médicinales, et des petits gisements de
tuscades affleurent dans la zone nord-est.
Au nord du marais on peut encore apercevoir les vestiges d’une ancienne route en bois pourrissant. Elle n’est quasiment plus empruntée.
Œil de l’Arosco
Cette petite clairière se trouve au centre du marécage. Le sol y est détrempé, avec plusieurs mares couvertes de plantes aquatiques. Des rochers émergent toutefois du sol et permettent de progresser dans la zone. Au centre de la clairière, entre trois gros rochers, se trouve une mare tellement profonde qu’elle est d’un noir d’encre. Des voyageurs ont pris l’habitude de déposer sur les rochers voisins de menues offrandes (certaines sont très vieilles).
Société
Le marais est une zone frontalière entre la
Ganurdie et le
Tolderon, mais ce dernier n'y envoie aucune troupe.
Au nord des marais, on peut croiser quelques herboristes de
Ganurdie venus récolter des plantes, généralement dans des barques à fond plat. Au nord-est, des prospecteurs et des esclaves de
Vaeronon exploitent les petits filons de
tuscade.
Rencontres
Le Marais de l’Arosco abrite une faune assez abondante, surtout constituée d’oiseaux échassiers, de crapauds, grenouilles et autres petits amphibies, ainsi que de quelques
fangeux.
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