Les Seovir

Lorsque les premiers peuples Aasimars purifièrent leurs rangs des imparfaits, ceux-ci furent chassés et se retrouvèrent isolés face au monde hostile qui les entourait. Seuls, ballottés par un océan de menaces les entourant, ces hommes durent rapidement s'endurcir afin de survivre et se réfugièrent dans les endroits les plus reculés qu'ils trouvèrent afin d'échapper à la vindicte de leurs anciens frères et au désir de vengeance des locaux. Les Seovir sont les descendants de ces exilés ayant choisi de se réfugier dans les montagnes du Nord, puis, qui furent repoussés des Collines du Sacrifiés jusqu'en Ildaris par les fondateurs du Marforel.   Chassant les animaux sauvage de la forêt comme principal moyen de subsistance et puisque que ceux-ci ont longtemps été leur plus grande menace, leur vie fut rapidement fortement influencé par l'omniprésence de ces bêtes dangereuses. Les Seovir portent donc des habits et des armures faites des peaux et des restes de leurs proies vaincus et leur armement est tout aussi adapté à la chasse qu'au combat. Os et crânes d'animaux leur servent de parures tandis que leur haches et épées battent leurs côtés. Vivant au cœur de la forêt dans des bois obscurs, dangereux et labyrinthique, chaque individus est expérimenté dans l'art de la survie, la chasse et les déplacements en nature. Leurs armes de prédilection sont la lance et la hache, mais les guerriers de renom apprennent tous à manier l'effroyable épée Seovir, une lame à une main dont la pointe se courbe vers l'avant comme une serre cruelle qui est le plus souvent conjugué avec un bouclier ou une deuxième lame plus courte. Le port de ces armes est signe de prospérité et de valeurs pour ces guerriers sauvages qui n'aime rien tant que de les décorer et les afficher en toute occasion.    

Les Monstres de Légendes

  Descendants d'hommes et de femmes exilés par leurs familles, ils créeraient leur propre famille, dédaignés pour leur faiblesse, ils deviendrait fort. Tel fut le fondement de la société Seovir. Née du rejet et de l'exile, ils formèrent des liens forts, décidé à devenir meilleurs que leurs pairs. Leurs ancêtres ayant été mit de côté, conspués et chassés pour leurs imperfections, ils créèrent un nouveau code destiné à les rendre plus fort, plus fort, même, que ceux qui les avaient chassés. Ils devinrent des chasseurs et des tueurs impitoyables, uniquement guidé par une loi: le Code. Unis dans la vie comme dans la mort, ils n'exileraient jamais l'un des leurs le châtieraient eux même. Ils devraient se montrer fort et sans pitié envers les descendants des Traîtres, toujours tenter de les surpasser. Ils ne se tourmenterait jamais les leurs et se tournerait toujours vers l'extérieur afin d'assouvir leur soif de sang et de pillage. Finalement, ils ouvriraient toujours les bras à ceux, pareillement exilés, qui viendraient chercher refuge sur leurs terres et qui parviendrait à se montrer digne du Code. Ces hommes sont des chasseurs et des pilleurs nées, qui dépouillent leurs voisins plus faibles avec une joie féroce, comme une vengeance pour l'affront qui fut fait à leurs ancêtres. Sur les terres de ceux-ci, ils sont comme des bêtes sauvages, pillant, tuant, brûlant et violant sans vergogne. Leurs navires pirate sillonnent l’océan du Nord, attaquant à vue toute proie facile et ne faisant aucun quartier aux équipages capturés. Ces pirates Seovir sont craint du Nord du Marforel jusqu'aux côtes de la Virianne, de sorte que tous savent qu'il est bien pire de tomber entre leur mains qu'entre celle de n'importe quel autre pirate de l'océan de l'Ouest. Ils agissent ainsi avec joie, un féroce sourire aux lèvres et un cris de joie lancer au ciel car ce mode de vie n'est pour eux qu’adhéré à leur code et prouver leur forces sur les faibles, prendre la récompense du fort.  

Organisation Sociale

  Pourtant, lorsqu'un des leurs faillit à se montrer à la hauteur du Code et devient un Seorgal, un Briseur de Code, c'est sévère et pleins de dégoût qu'ils punissent le coupable. Parfois sévèrement, parfois de la mort, mais jamais cruellement. Dans ces cas, ils l'exécute, souvent en duel et l'envoient parfois dans la forêt pour mourir, seul et sans armes, face aux bêtes et aux éléments. En effet, leur société est divisée en tribu concurrente, mais ils considèrent que tous les Seovir font partie de la même famille d'exilé et de parias. Ainsi, le meurtre, le vol et le viol ne sont pas toléré chez eux et sévèrement punis. Peuple néanmoins violent, il permettent avec joie les bagarres et les duels, tant que celle-ci restent fidèles au Code. Lorsque des conflits éclatent inévitablement entre tribus, ils se battent avec férocité pour la victoire, accomplissant leur devoir sans regret, mais aussi sans l'exaltation de leurs exactions habituelles. Fidèle à leur Code, ces hommes et ces femmes tentent en permanence de prouver leur valeur et, surtout, leur supériorité sur les descendants de leurs bourreaux. Pour ce faire, il est commun de voir des groupes de pilleurs partir en expédition sur les terres de leurs voisins, chaque raid, chaque embuscade et chaque combat gagné devenant une source de réjouissance et une bonne histoire à raconter afin de faire grandir leur réputation. De plus, lorsqu'une personne brigue une position d'autorité, il est de coutume qu'il prouve d'abord sa force grâce à quelque récits de raids et de batailles menés aux côtés de ses frères d'armes contre les (nom dans leur langue des extérieurs, descendants de leurs ennemis) couronnés des succès, mais il est aussi possible pour l'homme ambitieux de tenter de gagner seul l'admiration de ses pairs, devenant des Sigir. Pourtant, tout les habitants de l'Ildaris ne sont pas des descendants des Grandes Purges. Puisque le Code des Seovir leur demande d'accueillir et de donner une chance de prouver leur valeur à tout les expatriés cherchant refuge chez eux, de nombreux bandits, déserteurs et fuyard ont fini par s'y installer. Nombreux furent ceux ayant tenter de se réfugier sur cette terre d'exile en brandissant le Code comme un bouclier, mais tous doivent prouver leur valeur avant d'être accueillit et souvent même après. Ainsi, les duels et épreuves peuvent s'enchaîner pendant des jours avant que des nouveaux venus ne soit accepté au plus bas échelon de la société ou ne trouvent la mort. Même après avoir gagné leur place, ces hommes ne deviennent pas de plein membres de la société avant bien longtemps, gardant le stigmate d'être des descendants des oppresseurs. Quand ils gagnent enfin leur place, ils peuvent ainsi rejoindre un des clans voulant bien les accepter ou former leur propre communauté. Ayant réussi cet exploit, des bandes de bandits, déserteurs, mercenaires en déchéance ou parias créèrent leur propres groupes en Ildaris, mais gardent toujours une distance avec les natifs de l'endroit. Lorsque ces nouveaux venus font l'erreur de rompre le Code, ils sont alors traité comme des étrangers et les Seovir se débarrassent d'eux, impitoyable. De ceux-ci se démarquent les Villes Franches d'Ildaris, ensemble de cité perdu au milieu des bois servant de bastion de civilisation, aussi décrépit soit-ils.   De plus, en Ildaris, juger un homme selon sa race n'a pas de sens. Les premiers habitants de ces bois étaient des Sylphes et des Ondines et ceux qui la dominait lors de l'arrivé des Divins étaient des Ktals. Les Seovir y ayant prit place de nos jours ne cherchant que la force, ils ne font pas de cas de la race de leurs voisins. S'ils sont faibles, ils seront leurs proies. S'ils sont fort, ils seront digne de vivre parmi eux. Les Garol, ont depuis longtemps une bonne place parmi les habitants de la forêt, mais les Terel sont les maîtres incontestés en Ildaris. Leur force animale surpassant la majorité des hommes et leur instinct les poussant à toujours tenter de se hisser au sommet de la hiérarchie font d'eux de naturels adhérent au Code Seovir. Ayant longtemps été les plus grands adversaires de ces derniers, contre lesquels l'on gagnait gloire et richesse, mais pour lesquels l'on ne pouvait concevoir qu'un grand respect, les Terels sont aujourd'hui bien souvent des membres à part entière de la société Seovir ou, à tout le moins, considérés comme des égaux.  

Différentes Sortes de Tourments

  Bien que les Seovirs fassent tous partie d'un même peuple, ils restent divisés en différentes tribus. En effet, chacun d'entre eux est loyal d'abord et avant tout à son clan, à sa tribu, avant de l'être au collectif. Ces tribus sont de taille et de forme variable, mais la majorité d'entre eux sont conforme au même archétype. Elle sont composées d'homme durs, élevés et endurcit en Ildaris dans des idéaux de force, valeur, camaraderie et respect du Code. Ils rient avec leur frères d'arme, partagent leur joie et leur douleur, affronte les dangers de la forêt côte à côte, pêchent, chassent et pillent avec eux. Élevé dans le mépris et la haine des extérieurs ils vivent pour le combat, toujours avide de prouver leur valeur et s'élever au plus haut rangs de leur société. Férocement fidèle au Code et à leur culture, ils forment une société remarquablement unie, violente et vivante. Pourtant, à travers toutes les tribus de la forêt, certaines se démarquent tout de même de leur frères.   Les Buveurs d'Âmes sont les plus froids et les plus cruels d'entre tous, ayant hérités plus que quiconque des traditions de leurs ancêtres Sans Dieux. Animé de la même soif de sang, ils sont particulièrement prompt à pointer le manque de sauvagerie extrême de certaines autres tribus comme preuve de leur faiblesse et de leur manquement au Code. Étant une des tribus les plus puissantes et populeuse d'Ildaris, ils n'hésitent pas à utiliser cette influence pour chercher conflit avec les autres tribus, usant bien plus souvent de menace, manipulation et violence envers les tribus voisines que n'importe quel autre. Ils sont d'ailleurs particulièrement porté sur les sacrifices de sang et sont l'une des deux seules tribus à régulièrement ramener des captifs de leurs expéditions à fin de torture et sacrifice. Le présence plane comme une ombre menaçante sur la forêt, ayant frappé l'imaginaire et inspiré des légendes chez les extérieurs tout en inquiétant même leurs frères Seovir.   Les Voiles de Mort sont assez différentes de la plupart des autres tribus dans le sens où la majorité de leur raids ne sont pas conduit sur terre, mais sur l'eau. Possédant la plus grande flotte de navire et les mieux construits, ils sont la terreur de l'Océan de l'Ouest, pirates de génération en génération. Établis sur les rives du Fjord de cendre, au Sud de l'Ildaris, leur village principale abrite le plus important chantier naval Seovir et le bois de la région fournit du matériel de qualité à leur artisans d'expérience. Les Voiles de Mort sont peut-être reconnue pour leur expertise dans la confection de navire d'abordage rapide comme le vent, mais ils sont craint pour leur maîtrise redoutable des mers et l'efficacité redoutable de leur abordage. Leurs vaisseaux de bois sombre et de toiles pourpres sont craint partout sur les côtes de l'Ouest d'Anelde et même les vaisseaux de guerre et les marchands protégés par une escorte de navires ne sont pas à l'abris de leurs vindicte.   Les Marche Nuit sont établis dans la section Est de l'Ildaris et forment certains des meilleurs chasseurs de ses bois. Née dans la culture x, ils sont les descendants des premiers Seovir à s'être installé en Ildaris. Sombres chasseurs et traqueurs, ils sont aussi mutiques que silencieux, étant parmi les seuls à ne pas éprouver la joie de la revanche contre les extérieurs. Ils ne pillent pas avec la même féroce satisfaction que leurs frères des autres tribus, mais avec l'inébranlable certitude que tel est l'ordre des choses. Adeptes de l'ordre naturel, ils éprouvent une forte affinité avec les manières de faire simple et franche des animaux. Très proches des Kalil Ktals, ils en comporte un très grand nombre dans leurs rangs et plus des leurs sont des lycantrophe que dans n'importe quelle autre tribu. Cette affinité avec les animaux font d'eux de très grand dresseurs, mais leur attire aussi un certain mépris de beaucoup d'autre tribus voyant cela et leur manque de soif de sang comme un manque de respect envers leurs tradition. Pourtant, ce mépris n'est rien pour les Marche Nuit qui savent que les leurs furent les premiers Seovir à avoir dompté la forêt et en être les seuls véritables maîtres. Finalement, les différents villages de cette tribus sont tous construit en Aetgor, les Portes Noires. Cette région est pami les plus dangereuses et les plus durs d'accès d'Ildari et les animaux et monstres qui y vivent sont bien plus nombreux et mortels que n'importe où ailleurs. Cette environnement procure une sécurité certaine aux Marche Nuit dont l'indéniables talents au pistage et au camouflage garantie une relative sécurité. Rare sont les Seovirs à oser pénétrer en Aetgor sans leur guidance et les extérieurs qui s'y risque n'en sortent jamais.   Les Lances Sanglantes sont presque en tout point semblable aux autres tribus, si ce n'est de leur maîtrise de la forge ainsi que de la taille et la force de leurs guerriers. Provenant de la culture Y, ces Seovirs sont effectivement des descendants des Sans Dieux des Monts de Fer et ont hérité de leurs ancêtres de nombreux secrets de la métallurgie ainsi qu'une propension à mettre au monde des individus grand et fort, des guerriers nées. Ces atouts ont permit à la tribu de grandir, s'enrichir et de résister à toute les menaçes de l'Ildaris. Leur village principale abrite la plus grande et la plus efficace forge de leur peuple et les armes qui en sorte font l'envie de chaque Seovirs.   Finalement, les Coeur de Cendre sont une des tribus les plus influente qui soit, mais aussi les plus recluses et mystérieuses. Implantés au centre de la forêt, cette tribu pourtant pas des plus populeuse possède un statut d'intouchables en Ildaris. Gardiens du Code, la majorité des x proviennent de cette tribu et ils se targuent de porter la parole des Seigneurs Inférieurs aux peuple d'Ildaris. Ils font office d'intermédiaire entre les tribus, de médiateurs et de conseillers et leurs hommes sont plus réfléchis et éduqué que la moyenne. Rare sont les Seovir assez stupides ou inconscients pour ignorer les conseils des Coeur de Cendre et plus d'un chef de tribu rencontra sa chute après avoir négligé de prêter oreille à ces porteurs de sagesse.   De nouvelle tribu se créent parfois quand des Seovir partent en quête d'indépendance et s'installent avec leurs propre familles et camarades sur des terres isolés. Dans une société aussi violente et prédatrice, il serait normal de penser que ces plus petites tribus seraient une proie facile pour les plus grosse, mais les Seovir ne s'attaquent aux leurs qu'en dernier recours, après que toute les autres alternatives aient échouées. Une tribu n'irait jamais en attaquer une plus petite par opportunisme ou avidité, mais cela ne veux pas dire que ces plus petits regroupements ne sont pas à risque. En effet, tout les autres habitants de la forêt ne pensent pas ainsi et ne sont pas lié par le code. Ces bandits, mercenaires et chasseurs d'hommes s'en prennent parfois à ces cibles plus facile. Pourtant, lorsque les leurs sont attaqués, les Seovirs rendent toujours justices et lorsque les coupables sont trouvés, leur cruauté et leur violence sont sans égale. (Idée: avoir des sorte d'inquisiteurs Seovir, des gardiens du code, qui cherchent les Briseurs de Code afin de les soumettre à la justice Seovir).   Malgré tout, d'une tribu différente ou pas, ancienne inimitié ou non, lorsque des Seovirs combattent contre les fils des Traîtres, ils sont toujours des frères d'armes et chaque Guerrier du Code qui se respecte serait prêt à mourir l'arme à la main pour défendre un des leurs contre leurs ennemis ancestraux.  

Relations

  Les Séovir n'entretiennent aucune relation régulière avec ceux extérieurs à leur forêt. Considérant la plupart de ceux-ci comme des proies et non pas comme des hommes, ils ne les voient que comme un moyen par lequel ils peuvent obtenir gloire, richesse ou plaisir. Considérant le commerce comme l'alternative lâche et faible que les descendants des Traîtres ont choisit par manque de force, ils répugnent à le pratiquer et ne trouvent ainsi aucune raison de ne pas prendre par la force les possessions des faibles extérieurs. De plus, une tribu Seovir reconnut coupable de s'être alliée au descendants des traître ne pourrait récolter qu'une haine innaltérable et uen mort atroce de la part de leur frères. De la même manière, aucun traité de régit les relations entre les tribus Seovir et les autres habitants de la forêt, qu'ils soient ktals, Villes Franches ou bandes indépendantes. Ceux-ci sont jugés au cas par cas sur la force de leur bras et la détermination de leur cœur, plus d'une Villes Franches ayant d’ailleurs été mise à sac après s'être relâchée suite à une trop longue période de paix. Entre les tribus Seovir elles-même, la situation est quelque peu différente car, bien que le Code prévoit clairement que les Seovir ne doivent jamais se retourner les uns contre les autres et que chaque tribu reste farouchement indépedante, des alliance et des trahisons restent inévitables. Ainsi, les différente tribus s'allient parfois contre un ennemi commun, envoient chacun des chasseurs pour éliminer un monstre particulièrement dangereux ou traquer des Seorgals. Parfois, ils s'allient afin de mener un projet plus ambitieux, que ce soit un raid d'importance contre une cible ennemie fortifiée ou une guerre à mener contre une tribu s'étant éloigné du Code. C'est dans ce dernier cas que les Seovir peuvent en venir à s'affronter; quand l'un des leurs perd tellement de vue le Code qu'il doit être ramener sur le froit chemin ou simplement exterminé.  

Culture

    Parmi les Seovir règnent quatre cultures distinctes, mais semblables, chacune provenant d'une section différente du Nord. Les premiers et les plus représentés sont les A. Ils représentent près du 2/3 des Seovirs et leurs ancêtres provenaient des Collines du Sacrifiés où ils vénéraient ardamment les Les Seigneurs Inférieurs. Ils ont, comme pour les autres, perdu une bonne partie de leur fanatisme d'antan, mais restent ancrés dans les anciennes voies. Ils furent ceux qui, mit en déroute par le Marforel, durent fuirent leur foyé et se réfugier en Ildaris au terme d'une longue et pénible guerre d'usure, brisés dans leurs fierté et leur arrogance. Ensuite se trouve les Y. Ces chasseurs froids et taciturnes furent ceux qui s'installèrent d'emblé en Ildaris après les Grandes Purges et ne les quittèrent jamais. Ces hommes urent la vie dure la majeure partie de leur histoire et passèrent proche de l'extinction lors des guerres avec les Ondines de l'Ouest, mais ont depuis regarni leur rangs. Les X sont quant à eux les descendants de ceux jadis installés dans les Montagnes de Fer. Imposants guerriers à la carrure vigoureuses, ils ont conservés la force physique nécessaire pour résister au environnements les plus hostiles de leurs ancêtres. Ils sont plus grand et plus résistant que la plupart et certains d'entre eux ont même conservé des perles de savoir récolté dans les forges naines un temps occupées. Finalement, il ne reste plus que quelques rares tribus de la culture K, celle-ci remontant aux Sans Dieux du Nord s'étant installé dans les Contrefôrts d'Hiver. Pétri de haine envers les élémentaires et les Ktals, ils ne sont plus très nombreux, ayant été décimé sur le chemin jusqu'à l'Ildaris, mais ayant conservé leur soif de sang. Ce brasier de haine couvant en leur coeur pour les élémentaires les met tout autant à part que les Y, tout deux ne vouyant pas une indéfectible rancune spécifiquement envers les Divins.   Pourtant, quel que soit leur culture d'origine, les ténébreux chasseurs de gloires Seovirs n'aiment rien tant que de prouver à tous l'étendue de leurs exploits accomplit. Pour ce faire, ils inscrivent régulièrement dans leur chairs les récits de ces hauts faits afin de pouvoir s'en réclamer. Se couvrant le torse, dos, bras et jambes de tatouages, ils y placent des preuves de leur courage et de leur bravoure au combat, se démontrant ainsi des guerriers de renom digne de respect et d'autorité. En effet, seule la force des exploits accomplit, des duels gagnés et des raids fructueux menés à bien permet à un homme de se hisser dans les rangs de sa tribu ou de se voir confier des responsabilités.