Modulateur de Higgs

Découverts en 2055 et fabriqués pour la première fois en 2079, les modulateurs de Higgs sont le seul moyen à ce jour de contourner la barrière de Khorshid, ils sont ainsi la clé qui ouvrit le voyage PRL à des bâtiments plus massifs.
Théorie : La théorie sous-jacente aux modulateurs fut formalisé par Eun-Gyeong Xia qui s'était basé sur les travaux portant notamment sur le champs de Higgs. Selon Xia, il est possible de modifier localement et ce de manière temporaire les valeurs du champs de Higgs qui rappelons le confère la masse aux objets. L'humanité est donc en moyen de modifier la masse de ses bâtiments, un atout considérable pour les sauts PRL dont le coût en énergie est exponentiel par rapport à la masse.
Applications : PRL : La première application est comme nous l'avons dit, au sein des vaisseaux. D'abord implémentés sur les plus vastes bâtiments, il devient de plus en plus courant de les voirs équipés sur des bâtiments militaires de tous tonnages et navires marchands. Bien qu'onéreux à installer et à utiliser, ils offrent une importante économie sur le long terme.
Propulsion PLL : Quoique déjà envisagée, le coût prohibitif d'usage des modulateurs a longtemps empêché de l'employer comme accélérateur PLL. En effet, si correctement calculé, le champ peut englober le vaisseau et exclure ses propulseurs. On a donc une masse moindre propulsée par une masse de propulseurs inchangée, l'accélération en est donc accrue. Cette manoeuvre est extrêmement rare car non seulement, elle a un coût exorbitant, mais en plus, les effets d'une réduction de la masse sur le corps humain sont néfastes sur de longues durée. Enfin, si un capitaine se résout à tenter une telle manoeuvre, il devra aussi veiller à incrémenter lentement la modification du champs higgs de peur d'imposer un stress trop important à une structure plus massive.
Défenses actives : Dernière application majeure, l'utilisation dans le cadre défensif d'un vaisseau, station ou d'un territoire planétaire.