Shotozumi-gumi

Oyabun Hanzo Shotozumi a guidé son association et les Seattle Yakuza pendant des décennies. Shotozumi est un traditionaliste et un fervent partisan de faire les choses comme les Yakuza les ont faites pendant des siècles, donc son organisation maintient des pratiques comme les tatouages irezumi pour démontrer leur rang et leur influence (les meilleurs faits par des maîtres artistes traditionnels sans l'utilisation d'outils modernes ). On s'attend à ce que les membres du gumi expient leurs erreurs avec des rituels traditionnels de yabitsume ("doigt coupé") et de seppuku.

> La position traditionaliste de Shotozumi s'est légèrement adoucie en raison de l'influence de sa fille, Keiko. Sous le nom de Kiku, elle a travaillé dans l'ombre pendant des années avant de vendre ses coéquipiers et de retourner dans le giron familial, suggérant soit une réconciliation soudaine, soit la possibilité qu'elle travaillait à couvert tout le temps. Elle a réussi à montrer à son père la sagesse de certains atouts "non traditionnels", y compris les femmes et les métahumains, employés dans des domaines où les kobun plus traditionnels sont dépassés ou trop reconnaissables. Elle est également sur la liste noire de beaucoup de personnes à Seattle, mais a réussi à rester en vie jusqu'à présent.
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Le Shotozumi-gumi est organisé et géré comme une association commerciale, avec l'oyabun comme président. Ils combinent la pratique traditionnelle yakuza d'offrir leur protection bienveillante aux résidents de leur nawabari (littéralement « zone délimitée », principalement le quartier international du centre-ville) avec la pratique sokaiya de traiter avec les entreprises locales et les bureaux de Seattle des multinationales. Essentiellement, le corps paie l'argent de la protection Yakuza pour éviter les perturbations de leurs affaires et pour faciliter certaines connexions avec la pègre.
Plus près de la rue, les Shotozumi ont des intérêts dans les salons de jeu et les services de «divertissement» comme la prostitution (à la fois les geishas traditionnelles et leurs salons de bunraku), le trafic de jetons et la contrebande.

> Comme toute grande entreprise, les Yakuza embauchent également des shadowrunners, surtout lorsqu'ils ne veulent pas se salir les mains ou (le plus souvent) ne peuvent pas être considérés comme directement impliqués dans une affaire. Les Shotozumi-gumi sont prêts à payer un taux majoré, mais ils attendent aussi beaucoup pour leur argent. En parlant de cela, ils insistent aussi souvent pour payer en certificats d'entreprise plutôt qu'en crédit certifié, principalement pour deux raisons. Premièrement, le certificat sert parfois d'aveugle, pointant du doigt une corp comme Mitsuhama plutôt que le Yakuza. Deuxièmement, les Yaks sont parmi les seuls commerçants noirs de Seattle qui acceptent les certificats d'entreprise, ils savent donc que l'argent leur reviendra éventuellement. Vous pouvez leur parler d'une crédibilité certifiée, mais attendez-vous à perdre ce «taux de prime» dans le processus.
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> Bien qu'ils tournent le dos à des choses comme la drogue aux niveaux supérieurs du gumi, la vérité est que les kobun dans les rues et les gangs qui font les courses des Yakuza vendent beaucoup de drogue, et le gumi ne tourne certainement pas le nez à l'argent qu'ils rapportent.
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