Deireadh an tuartheil

Le seul véritable hôpital disponible pour les elfes de Tarislar est Deireadh An Tuartheil (qui se traduit approximativement par "La fin du chant du peuple/de la tribu"). Les réfugiés de Night of Rage ont repris l'hôpital abandonné et l'ont géré du mieux qu'ils pouvaient au fil des ans. L'endroit est chroniquement en sous-effectif, sous-approvisionné et fait face à une crise quasi constante et aux menaces de gangs qui cherchent à arnaquer des fournitures médicales ou simplement à collecter des oreilles pointues. Ils compensent certaines de leurs carences matérielles avec l'aide de guérisseurs magiques, dont certains fournissent également une sécurité supplémentaire, de quoi faire réfléchir à deux fois les pires fauteurs de troubles.

> L'alimentation principale de l'hôpital provient d'un branchement sur la ligne principale Gaeatronics qui traverse le quartier. Gaeatronics connaît le robinet depuis des années, mais n'a rien fait à ce sujet. Leur histoire officielle est que le câble est trop vital, transportant un pourcentage important de l'énergie de Seattle provenant des centrales solaires et géothermiques du mont Rainier, mais je soupçonne que la vérité est que Gaeatronics est prêt à détourner le regard et à fournir un petite quantité d'électricité gratuite aux habitants de Tarislar tout en laissant le Seattle Metroplex payer la facture.
> Pistons

> La mère d'un ami a déjà travaillé ici : c'était une humaine, une résidente en médecine qui, comme beaucoup de parents de métahumains, a été rassemblée avec leur progéniture "souillée". Elle et son jeune fils ont échappé à Night of Rage. Son mari non. Elle a fait de son mieux pour aider, ayant plus de formation médicale et d'expérience que la plupart, même si elle n'avait pas d'accréditation complète. Elle a travaillé à Deireadh pendant des années avant qu'un junkie ébréché ne la poignarde à mort dans la zone de triage une nuit. C'est la réalité de la vie à Tarislar.
> Tarlan