Session XV : Le meurtre du Doyen
General Summary
Un léger moment de flottement suivit la déclaration d'Estellor... Puis un assistant alchimiste sortit de la loge d'Ombroise :
"Le doyen est mort, Ombroise de Travea a été assassiné !"
Quelques secondes de battement...
"ÉCARTEZ-VOUS DES LOGES !! RECULEZ !!"
Le chef de la garde cria de toutes ses forces. Une rangée de soldat vint aligner leurs bouclier pour former un mur devant les hauts dignitaires de la ville. La foule commença à paniquer quelques secondes plus tard lorsque d'énormes golems d'argile virent se placer derrière la rangée de soldats. Les lieutenants donnaient des indications à tort et à travers, suivant le commandement du chef de la garde pour imposer un périmètre de sécurité autour des loges. Dans celles-ci, les nobles furent rapidement évacués, escortés par leurs gardes personnels pour les mettre en lieux sûrs. Lorsque Marduk et Vidar observèrent la situation, les trois dignitaires elfes avaient déjà disparus. Marduk se dirigea alors vers la rangée de soldat, il tenta de s'imposer en montrant son insigne de la Société des Éclaireurs. Étant donné que les gardes refusaient de le laisser passer, il annonça qu'il avait des informations sur le meurtre qui venait de se produire. Dans la confusion du moment, les soldats crûrent qu'il était impliqué d'une manière ou d'une autre et vu qu'il tentait de s'imposer, trois gardes se jetèrent sur lui et le plaquèrent à terre. Alors que les gardes étaient sur le point de l'emmener, Vidar vint à sa rescousse et lança un Toucher Ancestral pour tenter d'effrayer et de les calmer. Avec un regard effaré, ils lâchèrent le champion. Après avoir mis les choses au clair, ils furent emmené chez le responsable de la garde. La place Saternelle était encore dans le chaos le plus total, et les gardes tentaient avec peine de repousser les villageois hors de la Montagne Dorée sans que la foule n'écrase un quelconque malheureux sur son passage. Les deux aventuriers furent donc conduits dans un bureau où le chef de la garde se trouvait. Ils expliquèrent qu'ils avaient des preuves qui inculpaient la Guilde des Ombres, les servants de Norgorber. N'étant pas totalement convaincu, ils expliquèrent alors leur péripétie au temple et l'interrogatoire d'Aelnis, affirmant qu'elle avait donné l'information suivante : le meurtre avait été commandité par le Royaume d'Onclair afin d'inculper les elfes de l'Empire Zithaï dans le but de créer des tension entre les deux factions, potentiellement une guerre. Ils n'avaient malheureusement pas les documents sur eux, car ils étaient actuellement dans le sac de Drark.
De leur côté, Drark avait réussi à relever Baltazar. Ce dernier confia au gobelin qu'il avait eu une réminiscence du passé, mais que ce n'était pas le temps pour cela, ils en parleraient plus tard. Ils durent franchir la foule qui allait à contresens vis-à-vis d'eux, mais comprirent rapidement la situation aux rumeurs qui couraient : Ombroise était mort. Ils virent que les gardent avaient repoussé la foule et qu'ils bloquaient maintenant l'entrée de la place Saternelle. Ils décidèrent alors de tenter d'intercepter les assassins dans leur fuite des lieux. Ils commencèrent à contourner la Montagne Dorée par l'Est. Ils suivirent les flancs de la colline, passèrent à côté de la Petite Bibliothèque du Curieux Voyageur, puis à côté du cimetière où ils avaient déposé les fleurs, puis revinrent à la rampe menant à la place Saternelle, mais malheureusement, ils ne virent aucune trace des ombres. Ils se dirigèrent vers les gardes et parvient à les convaincre de les mener au responsable de la garde.
Ils se retrouvèrent alors dans le bureau du commandant de la garde, accompagnés de leur golem d’argile. Ils se tirent alors au courant des dernières nouvelles et présentèrent les documents relevés dans le Temple de Norgorber. Le soldat les sut qu’il devait en parler au Conseil de Sept. Ils étaient actuellement en réunion d’urgence dans l’Université pour déterminer quelle serait la démarche à suivre. Ils suivirent alors le chef de la garde qui les conduisit au Conseil. Là, ils reçurent l’autorisation de poursuivre leur enquête avec l’aide de la garde de la ville. Ils furent donc conduits au lieu du meurtre. Juste avant de mourir, Ombroise était dans son bureau en train de relire son texte. Son bureau était divisé en deux parties : un bureau classique, couplé à un petit jardin botanique, telle une petite serre. Il était mort là, face à un des arbres étranges qui peuplaient son bureau. Après plusieurs minutes d’inspections, Drark remarqua qu’une des fenêtres avait été ouverte il y a peu, et que des traces de pas se trouvaient sur les grandes baies vitrées, permettant aux plantes de grandir et prospérer dans cette le bureau du doyen. Sans perdre de temps, il descendit à l’aide de sa corde enchantée et tenta de suivre la piste. Cependant, une fois arrivé en bas du bâtiment, il fut confronté à un problème plus important : les grandes dalles de pierre constituant la place de la Montagne Dorée ne laissaient aucune trace visible pour ses talents approximatifs de pisteur. Il perdit directement la trace, ne parvenant pas à trouver des indices dans les environs.
Il rejoignit alors ses compagnons, les informant de ce qu’il avait trouvé. Ils décidèrent d’aller voir le corps du défunt. Ils purent examiner la plaie béante dans le cou du gnome sans vie. Vidar eut un haut le coeur en constatant que ce type de blessure ressemblait étrangement aux couteaux des clans nains qui faisaient partie de l’héritage de son peuple. Il ne dit rien sur le moment, reconnaissant que cela pouvait lever des doutes à son intentions, particulièrement devant le chef de la garde. Ne trouvant pas d’autres éléments pour ce soir, ils décidèrent d’aller dormir à la Dernière Goutte. Il leur fut conseillé d’aller voir Hargis le lendemain matin afin de recevoir des instructions s’ils désiraient aider la garde dans la gestion du chaos ambiant de la ville. Avant de partir, ils partagèrent l’information qu’ils avaient reçue d’Aelnis : selon ses dires, le meurtre avait été planifié par le Royaume d’Onclair pour créer des tensions et potentiellement une guerre entre le Redana et les elfes de l’Empire Zithaï. Bien qu’ils n’avaient pas d’autre preuve pour avancer leur déclaration que leur bonne foi dans le témoignage de la méduse, se pensaient que cela pourrait influencer les enquêtes des gardes dans le bon sens.
Le groupe quitta la Montagne Dorée et traversèrent la ville, vide de sa population, pour rejoindre la taverne. L’ambiance était aux mystères et à la tension : chaque table parlait à voix basse, échangeant des théories sur l’assassinat, se répandant dans des propos sur les complotistes potentiels autour du meurtre du directeur de l’université. Ils purent entendre, entre les messes basses, que les elfes étaient en effet au centre de l’attention, bien qu’il était évident qu’Ombroise n’avait pas que des alliés. Cependant, la question était : parmi ses ennemis, qui aurait été capable d’aller jusqu’au meurtre pour arriver à ses fins ? Ses rivaux à l’université ? Un potentiel candidat pour le Conseil des Sept ? Ou simplement un hors-la-loi en quête de désordre ?
Les aventuriers profitèrent de ce moment pour échanger plus amplement sur leurs vies car ils n’avaient pas vraiment eu le temps de partager leurs histoires personnelles. Vidar expliqua qu’il venait d’une famille renommée et appréciée, qu’il avait intégré la garde royale de son clan. Mais que le jour où une troupe d’orcs prit en embuscade son suzerain, il mourut étouffé dans son vomi, suite à une consommation trop importante d’alcool. Il vit la Dame en Noir, la grande gardienne des portes de la Mort, appelée Pharasma dans la plupart des contrées de Golarion, dans sa grande tour, sur son trône, prête à juger les âmes pour les rediriger vers un autre plan d’existence. Cependant, à côté de la divinité massive, se trouvait toute une série de personnes dont les traits du visage lui paraissaient familier : il s’agissait en réalité de ses ancêtres. Ils étaient là pour plaider la cause du jeune nain, mort dans une circonstance Dans la discussion sur savoir vers quel plan l’âme de Vidar irait, les ancêtres du nain parvinrent à convaincre le psychopompe responsable de son voyage que sa vie n’aurait pas dû se dérouler comme cela, et donc à semer le doute sur le sort de leur descendant. Il fut alors décidé que son âme soit renvoyée sur terre. Il existe d’autres âme dont le sort ne parvient pas à être déterminé à la mort de la créature, et il arrive qu’elle soient renvoyées sur terre. Ils reviennent alors avec une peau grise comme la lune et sont appelés les crépusculaires. Pour le cas de Vidar, c’était encore plus particulier, car il fut ramené dans son propre corps, ce qui n’arrive pas habituellement. L’âme est, la plupart du temps, renvoyée dans un corps de nouveau-né, ce qui confère souvent une sagesse à ce nouvel être : une vieille âme dans un corps jeune. Il expliqua alors sa recherche de Hjarnak, un hobgobelin cruel qui faisait partie du clan des Crocs d’Obsidienne. Ce clan était celui qui avait tué son roi et il cherchait à lui rendre justice. Il n’aurait de repos tant que ces êtres sournois n’auraient pas payé leur dette de sang. Le chef orc du clan, s’appelait Ulsang et méritait sa fureur pour tous ses actes mauvais.
Les autres aventuriers racontèrent alors leurs histoires, transformant cette soirée en une nuit particulière, de partage et de tissage de nouveaux liens. Ils finirent tard, presque les derniers à boire des verres et à partager des discussions sur le bien, le mal, les dieux et autres mystères de la vie. Ils finirent tous à ronfler dans la même petite chambre, entassés et heureux.
Le lendemain matin, ils prirent un bon repas à l’auberge, avec lequel Marduk faillit s’étrangler, car un message avait été laissé dedans : les Lancaster, la troisième famille fondatrice de cette cité avec la Larathron et les Cledan, les invitaient à se rendre à leur demeure pour une mission confidentielle. Ils hésitèrent sur la démarche à suivre, mais se rendirent d’abord à la Société des Éclaireurs. En effet, le chef de la garde leur avait conseillé de passer chez Hargis pour recevoir des instructions. En se baladant dans les rues de la cité, ils purent constater qu’il y avait de nombreux gardes qui patrouillaient et que les citoyens étaient accompagnés à leur travail, puis encouragés à ne pas rester à traîner dans la ville. Les allées étaient donc désertes, seuls les gardes avaient le droit de passage complètement libre, tandis que les citoyens étaient contrôlés, questionnés s’ils tentaient de se rendre d’un lieu à un autre. Une fois arrivés chez le chef des Éclaireurs, ils reçurent comme mission d’aller donner un coup de main dans le Quartier du Plomb. Les rues de la ville avaient été mises sous surveillance militaire mais cette répression engendrait des mouvements de contestation. Le Quartier du Plomb, la zone la plus peuplée de la cité, et cette où la population était la moins sage, causait davantage de problèmes et il était nécessaire de donner un coup de main aux gardes de ces lieux. Hargis en profita pour officialiser leur entrée dans la guilde, leur aide avait été précieuse et leur valeur n'était plus à prouver. Jusqu'ici, ils étaient encore des nouvelles recrues à l'essai, mais les trouvailles des contrats dans le temple allait permettre de résoudre de nombreuses affaires, dont la plus récente avant Ombroise : Harkian. Ils reçurent un guide, une sorte de boussole faisant office d'insigne de la Société des Éclaireurs, un bracelet de communication permettant de s'envoyer des messages simples à distance, ainsi qu'un mandat d'authenticité des Éclaireurs leur permettant de leur ouvrir probablement des portes pour les enquêtes en cours ou les suivantes.
Ils décidèrent d’aller rendre visite aux Lancaster dans un premier temps et ensuite d’aller prêter main forte dans le quartier des ouvriers. Ils furent accueillis par les gardes de la demeure. Il s’agissait d’un vieux manoir dont la décoration ancienne, florale et gothique, indiquait un raffinement et une finesse qui étaient maintenant défraîchis par le temps. Il furent accueillis dans un salon où il discutèrent avec le patriarche de la famille, Armane. Il expliqua que la famille Lancaster était une des familles fondatrices d’Orville, qu’ils étaient là avant même que les lieux ne soient nommés Orville. Ils étaient, à l’époque, la famille la plus puissante, car ils possédaient la plupart des terres agricoles, et qu’avant que l’alchimie ne soit présente, c’était bien les cultures qui étaient la richesse du village. Maintenant, plusieurs décennies plus tard, ils avaient été relégués à la famille la plus pauvre, les terres ayant perdu de leur attrait financier et apportant un gain ridicule comparé à l’alchimie ou autres gains provenant du commerce. Les Lancaster avaient, petit à petit, délaissé la politique, acceptant leur sort et préférant ne pas s’épuiser dans les intrigues sans fin qui tournaient dans le Conseil des Sept et avec les forces gravitant autour. Cependant, les évènements récents les avaient convaincu de retenter leur chance, et qu’ils pourraient peut-être amener quelque chose de positif dans cette cité. La mort d’Ombroise avait laissé la possibilité d’un nouveau membre à la table des Sept, Jidéon, le fils d’Armane, était prêt à faire son entrée en politique, malgré les avertissements de son père. Armane avait alors eu l’idée de mettre un terme à cette Guilde des Ombres : cet acte serait leur preuve de bonne foi envers la cité, et cela permettrait d’éviter que les Lancaster, jusqu’ici hors des dangers, ne soient pris pour cible par les autres puissants de la cité.
Le groupe d’aventuriers réfléchit à la proposition. Ils avaient jusqu’au soir pour répondre, voire jusqu’au lendemain matin, mais plus ils attendaient, plus un possible imprévu pouvait ruiner leurs plans. Le plan était le suivant : avec l’aide de deux prêtres, ils lanceraient un rituel de désacralisation du Temple de Norgorber. Cela forcerait inévitablement les ombres à sortir de leur cachette et à venir les affronter. Pour cela, ils emprunteraient la maison des pauvres paysans qui vivaient juste au-dessus du temple, non loin du Fort de l’Aube, et ils entameraient le rituel peu après que la nuit soit tombée. Avant de partir, Baltazar demanda à Armane s’il connaissait une certaine Jueïa, ancienne danseuse de cabaret et employée d’une maison de passe. Ce dernier répondit que cela ne lui disait rien. Il insista auprès du noble, aidée par Marduk. L’iruxi ressenti un certain malaise : cet homme lui mentait, il en était sûr. Le sang commença à bouillonner dans les veines de l’homme-lézard, mais il comprit que ce n’était probablement pas le moment de régler cette affaire. Drark se renseigna alors sur les Chiens de Guerre. Il apprit qu’il s’agissait d’une association de vandales halfelins qui utilisaient le prétexte de l’esclavagisme de leur race, qui était en effet pratiqué dans d’autres royaumes, pour justifier des actes terroristes, de violence et de destruction pour arriver à leurs objectifs d’anarchie. Armane lui confia qu’il s’agissait à la base d’une guilde rurale, qui était pratiquement présente dans toutes les fermes et les domaines aux alentours, mais qu’ils étaient de plus en plus présents dans la ville, particulièrement dans les tavernes du Quartier du Plomb.
Ils quittèrent le manoir des Lancaster et discutèrent quelques dizaines de mètres plus loin de la proposition. Bien qu’ils n’avaient aucune assurance que les Lancaster étaient dignes de confiance, ils savaient que c’était une action qui serait profitable à la cité, et probablement à eux également. Ils avaient forcé l’entrée du temple, les représailles allaient probablement arriver un moment ou un autre. Ils hésitèrent à aller prévenir Vina Cledan, mais ils ne savaient également pas si elle valait mieux qu’Armane. Pour finir, pour ne pas compromettre l’intégrité du plan, ils décidèrent d’accepter et de garder ce plan confidentiel. Ils remirent donc leur réponse au patriarche, qui leur promit une demeure en dehors de la ville comme récompense en cas de succès de la mission. Ils devraient se donner rendez-vous chez les Lancaster à la nuit tombée pour aller préparer le terrain.
Ils se séparèrent ensuite pour s’occuper de plusieurs affaires.
Baltazar se dirigea vers la demeure des Larathron, il avait une idée en tête. Après s’être fait reconnaître par les gardes, il fut conduit chez Elssir pour un entretien. Il expliqua au Roi Chatoyant qu’il n’avait actuellement pas assez d’information et de moyen que pour retrouver les Larmes d’Asmodeus, et qu’il arrêterait donc de chercher dans un premier temps. Il questionna alors Elssir sur la composition des groupes qu’il avait engagés pour la mission. De par sa vision, Baltazar savait qu’il n’y avait pas qu’Essaru avec lui, et il voulait savoir où était Jueïa. Elssir affirma qu’il avait en effet engagé deux groupes, mais que pour son groupe, Essaru avait été la personne de contact et qu’il ne connaissait aucun des autres membres. L’iruxi, connaissant les moyens du Larathron, lui proposa alors un marché : une femme était présente avec lui dans le groupe, s’il parvenait à trouver des informations concernant sa position, il ramènerait les Larmes d’Asmodeus gratuitement à Elssir. Sans hésitation, le chef de famille Larathron, accepta la proposition et ils se serrèrent la main en signe d’accord sur le contrat.
Les autres décidèrent d’aller faire un tour dans le Quartier du Plomb. Ils savaient que la situation actuelle de réclusion mettaient la population à cran et qu’il risquait d’y avoir du grabuge. Une fois arrivés là-bas, il patrouillèrent, en questionnant les quelques passants sur les rumeurs actuelles. Il leur fut rapporté que les elfes étaient passés dans le quartier, accompagné de leur garde du corps, un magicien possédant une longue cape verte. Cela n’était pas courant car la plupart des seigneurs avaient tendance à rester flanqués de soldats massifs et impressionnants.
Dans leur itinérance, ils tombèrent finalement sur un groupe de gens, composés principalement d’humains, d’halfelins, de nains et d’orcs, qui jetaient des pierres sur un elfe au fond d’une impasse. Le groupe décida d’intervenir et ils tentèrent de résoudre le conflit sans utiliser la force. Cependant, les braillards étaient déjà fortement échauffés et aucun d’entre eux ne fut disposés à se laisser faire et à laisser l’elfe, dont des membres de sa race avaient tué le Directeur de manière éhontée, sans offrir un peu de résistance. Pour les calmer, Marduk décida alors d’administrer un coup de son pavois afin de calmer les ardeurs des paysans. D'un coup, un peu trop violent comparé à son intention, il mit un des voyous à terre en écrasant son nez. Vidar vint alors l'aider dans sa pacification.
"Rentrez chez vous ! Et ne tâchez pas de recommencer ce genre de brimade ! C'est un habitant d'Orville !"
L'elfe les remercia. Ils décidèrent de le raccompagner afin d'assurer sa sécurité. Ils discutèrent et purent recueillir une information qu'ils jugèrent comme potentiellement précieuse : les dernières rumeurs affirmaient que les elfes avaient rôdé près du Terrier. Pour quelles raisons ? Le groupe n'en avait aucune idée, mais ils savaient qu'ils trouveraient un moyen de résoudre ce mystère...
Date du Rapport
14 Apr 2023
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