Lebel
Les Lebel viennent, à l'origine, d'un Vault situé quelque part dans les Alpes. Il fût l'un des premiers à s'ouvrir, à peine 10 ans après la chut des bombes.
Les Lebel fûrent la première famille à sortir, étant à l'origine des trappeurs, l'enfermement ne leur convenait pas.
Dans un premier temps, le père, Dian Lebel, et ses trois fils, Gust, Calixte et Liam, reprirent leur activité de trappeur, apprenant tout ce qu'ils purent des terres désolées. Ils devirent, en quelques années, des survivants aguerris, faisant commerce avec leurs voisins de leur spécialité : les plantes médicinales. Plantes qui étaient utilisées par la mère, Marie, et leur fille, Sarah, pour créer des médicaments et écrire ce qui est encore probablement aujourd'hui l'encyclopédie la plus complète concernant les plantes des terres désolées.
Les enfants se marrièrent, eurent des enfants, et bientôt, le clan Lebel fût constitué d'une 20 aine de membres. Un nombre voulu, les Lebel connaissant la recette des contraceptifs. Tous et toutes travaillaient à l'entreprise familiale, et, aux alentour des années 2100, et après la mort des parents, les affaires marchaient bien. Ils prospéraient dans ce qui fut Annecy et étaient très appréciés.
En 2120, une épaisse fumée noire apparu à l'horizon. Se pensant protégés par les montagnes, ils n'avaient jamais subi d'attaque. Ils fûrent décontenancés par l'arrivée de véhicules volants, terrorisés par le vrombissement des tirs de laser. Les troupes de Nicae étaient là. En quelques heures, la ville fût prise, les hommes refusant de se rendre tués, les femmes et enfants réduits en esclavage.
Ce jour là, presque tout le clan fût tué lors du bombardement de leur atelier. Les restes d'entre eux fûrent capturés et ramenés à Nicae. On leur fît fabriquer des médicaments au départ, puis, des drogues dures, pour permettre aux esclaves de travailler plus dur, plus longtemps. Les Lebel s'avérèrent excellents dans ce domaine et bénéficièrent d'un traitement de faveur pendant quelques années. Aucun d'entre eux, cependant, ne pouvait prétendre sortir de la classe d'esclave, n'étant pas Nicéens d'origine.
En réalité, ce n'était pas leur intention, et il suffit d'une minute d'inattention de la part de la guarde locale pour que le clan au complet s'enfuit vers les montagnes envirronantes. Nicae fût incapable de les retrouver, et bientôt, des raids commencèrent sur les villages environnant. En effet, tous les villages sous l'égide de Nicae leur étaient entièrement dévoués, et les Lebel avaient besoin de vivres.
Il y eu des morts, chez les Lebel, chez les villageois, et une véritable haine se créa petit à petit. Les Lebel commencèrent à enlever des femmes, des enfants, devenaient de plus en plus violents. Nicae étant incapable de les localiser, la situation se stabilisa. Les villageois s'armaient, se préparaient, les Lebel attaquaient de plus en plus fort, sous l'emprise de drogues leur faisant oublier la peur et la douleur, et il y avait des morts. Ainsi la dernière génération des Lebel ne connu que la violence, la drogue et l'esclavage, et grandi dans un profond trauma, entrainés dès leur plus jeune âge à ce mode de vie.
En 2230, suite au témoignage d'une villageoise capturée qui s'était enfuie, ils fûrent localisés par Nicae et furent attaqués avec une violence rare. Ils durent fuir la région, et décidèrent d'aller au Sud, dans le Tenere, là où Nicae ne pouvait pas vraiment les suivre.
Certains d'entre eux habitent dans la Basse-ville de Lamorici, souhaitant un cadre plus calme, et vendent des médicaments. D'autres refusent de laisser derrière eux la "voie des anciens" et préfèrent attaquer les caravanes, ou devenir mercenaires, dealer, ou les trois.
Aujourd'hui, en 2300, les Lebel de l'oasis ont changé de nom pour la plupart, car leur nom est synonyme de pillage et de violence dans la partie nord du Tenere. On ne sait pas ce qui pousse encore les 3 dernières branches de la famille à refuser de poser les armes et à continuer de vouloir vivre de rapine, mais une chose est certaine, ils le font bien.
Les Lebel fûrent la première famille à sortir, étant à l'origine des trappeurs, l'enfermement ne leur convenait pas.
Dans un premier temps, le père, Dian Lebel, et ses trois fils, Gust, Calixte et Liam, reprirent leur activité de trappeur, apprenant tout ce qu'ils purent des terres désolées. Ils devirent, en quelques années, des survivants aguerris, faisant commerce avec leurs voisins de leur spécialité : les plantes médicinales. Plantes qui étaient utilisées par la mère, Marie, et leur fille, Sarah, pour créer des médicaments et écrire ce qui est encore probablement aujourd'hui l'encyclopédie la plus complète concernant les plantes des terres désolées.
Les enfants se marrièrent, eurent des enfants, et bientôt, le clan Lebel fût constitué d'une 20 aine de membres. Un nombre voulu, les Lebel connaissant la recette des contraceptifs. Tous et toutes travaillaient à l'entreprise familiale, et, aux alentour des années 2100, et après la mort des parents, les affaires marchaient bien. Ils prospéraient dans ce qui fut Annecy et étaient très appréciés.
En 2120, une épaisse fumée noire apparu à l'horizon. Se pensant protégés par les montagnes, ils n'avaient jamais subi d'attaque. Ils fûrent décontenancés par l'arrivée de véhicules volants, terrorisés par le vrombissement des tirs de laser. Les troupes de Nicae étaient là. En quelques heures, la ville fût prise, les hommes refusant de se rendre tués, les femmes et enfants réduits en esclavage.
Ce jour là, presque tout le clan fût tué lors du bombardement de leur atelier. Les restes d'entre eux fûrent capturés et ramenés à Nicae. On leur fît fabriquer des médicaments au départ, puis, des drogues dures, pour permettre aux esclaves de travailler plus dur, plus longtemps. Les Lebel s'avérèrent excellents dans ce domaine et bénéficièrent d'un traitement de faveur pendant quelques années. Aucun d'entre eux, cependant, ne pouvait prétendre sortir de la classe d'esclave, n'étant pas Nicéens d'origine.
En réalité, ce n'était pas leur intention, et il suffit d'une minute d'inattention de la part de la guarde locale pour que le clan au complet s'enfuit vers les montagnes envirronantes. Nicae fût incapable de les retrouver, et bientôt, des raids commencèrent sur les villages environnant. En effet, tous les villages sous l'égide de Nicae leur étaient entièrement dévoués, et les Lebel avaient besoin de vivres.
Il y eu des morts, chez les Lebel, chez les villageois, et une véritable haine se créa petit à petit. Les Lebel commencèrent à enlever des femmes, des enfants, devenaient de plus en plus violents. Nicae étant incapable de les localiser, la situation se stabilisa. Les villageois s'armaient, se préparaient, les Lebel attaquaient de plus en plus fort, sous l'emprise de drogues leur faisant oublier la peur et la douleur, et il y avait des morts. Ainsi la dernière génération des Lebel ne connu que la violence, la drogue et l'esclavage, et grandi dans un profond trauma, entrainés dès leur plus jeune âge à ce mode de vie.
En 2230, suite au témoignage d'une villageoise capturée qui s'était enfuie, ils fûrent localisés par Nicae et furent attaqués avec une violence rare. Ils durent fuir la région, et décidèrent d'aller au Sud, dans le Tenere, là où Nicae ne pouvait pas vraiment les suivre.
Certains d'entre eux habitent dans la Basse-ville de Lamorici, souhaitant un cadre plus calme, et vendent des médicaments. D'autres refusent de laisser derrière eux la "voie des anciens" et préfèrent attaquer les caravanes, ou devenir mercenaires, dealer, ou les trois.
Aujourd'hui, en 2300, les Lebel de l'oasis ont changé de nom pour la plupart, car leur nom est synonyme de pillage et de violence dans la partie nord du Tenere. On ne sait pas ce qui pousse encore les 3 dernières branches de la famille à refuser de poser les armes et à continuer de vouloir vivre de rapine, mais une chose est certaine, ils le font bien.
Structure
La branche des pillards sans foi ni loi, est dirigée par Dian "Gust" Lebel
La branche des voleurs et des espions est dirigée par Krayn "Calixte" Lebel.
La branche des guerriers est dirigée par Sean "Liam" Lebel
Type
Family
Organismes Subsidiaires