Difficile avancée

Après quelques jours de repos, j'ai repris la route en direction de l'avant-poste. En compagnie de quelques anciens compagnons et des nouveaux on a pris la route, mais l'avancée dans cette section du chemin est beaucoup plus difficile que les premier miles qu'on avait parcouru. Peut-être était-ce que la chance était contre nous, mais rien n'allait. Le chemin qui a avancé relativement bien la première journée est devenu très ardu le lendemain. Le campement n'était pas des plus sécuritaire mais on a fait avec. Par contre on l'a regretté pendant la nuit...
 
Une armée de MahiZombies nous ont attaqué. Je ne sais pas ce qui c'est passé, mais rien de ce qu'on essayait fonctionnait. Le piège que j'ai installé avant la nuit nous a un peu sauver la mise aussi, je vais peut-être investir sur un 2e piège éventuellement. Aléa m'a protégé du plus gros des attaques de certains MahiZombies, sans elle je n'aurais probablement pas réussi à m'en sortir ni à nous débarrasser de certains d'entre eux. Ils ont la mauvaise manie de vouloir s'accrocher sur nous et c'est là que ça fait mal ... outch !
 
À un moment, j'ai eu peur d'avoir à abandonner certains de nos coéquipiers derrière. On était à bout de ressources et peu importe ce qu'on essayait, rien ne fonctionnait, ils avaient le dessus sur nous à chaque fois. Avec deux compagnons à terre, l'énergie du désespoir nous a permis d'arriver à en abattre quelques uns. L'arrivée inattendue d'un ranger de la dernière garde a un peu déconcerté nos ennemis je crois et nous a permit de reprendre le dessus.
 
Au petit matin, c'est le corps fatigué et le moral à terre qu'on a attendu la relève qui continuera le chemin à notre place. De retour au Guet, je me suis retranchée dans mes quartier, question de reprendre des forces. Il faut dire que je n'avais guère l'envie de jaser avec les autres membres de la dernière garde.
 
On s'en est tous sorti en vie, mais j'ai un sentiment cuisant d'échec au travers de la gorge. Espérons que d'autres groupe arriveront à accomplir ce que nous n'avons pas ou faire soit arriver à l'avant-poste.
 
En attendant, Aléa me tient compagnie le temps que je retrouve mes forces et le moral.