Bon, il faut que je me présente et que je vous raconte mon histoire, c’est ça ? Eh bien quand faut y aller comme on dit… Ikkit Dolcefium, un roden, une souris pour être plus précis. Assez jeune je dois l’admettre je ne suis âgé que de 14 printemps.
Ma famille vient de la Verte Fosse, c’est là où je suis né d’ailleurs. Nous sommes une petite famille, je n’ai moi-même que 4 frères et 2 sœurs, je suis d’ailleurs le troisième de la famille, et c’est la même pour mes oncles et tantes, je comprends que pour d’autres cela peut paraître énorme mais croyait moi quand je vous dis que pour des souris ma famille est plutôt dans la moyenne basse.
On vivait dans une petite ferme ou l’on cultivait des champs et vendait notre production à Buchebuie. C’est une petite vie d’agriculteur paysan, simple, tranquille… et d’un ennuie mortel. Dès mes six ans j’avais compris que la vie d’un agriculteur ne me plairait pas mais toute ma famille me rétorquait que c’était la seule chose qu’il était possible de faire, j’entends encore ma mère me rétorquer :
« Allons bon et pour faire quoi ? Toute la famille travaille au champ et nous nous attendons bien à ce que tu en fasses de même Ikkit. » … et je peux vous dire que s’il y a bien un moment qui définit la structure d’une famille de souris, c’est rigide !
Je me consolais néanmoins en fabriquant toutes sortes d’outils, j’aime bricoler, comprendre comment les choses fonctionnent, les démonter pour les remonter en mieux fait… ce qui parfois m’amenait des ennuis avec mes parents quand je démontais un objet de la maison sans pour autant arriver à le remonter. Eh ! Il n’y avait pas 36 façons de faire pour savoir comment est-ce qu’une horloge fonctionne, non ? Et j’aurais certainement pu le remonter si je n’avais pas perdu des pièces dans le procédé.
Lorsque j’avais huit ans tout changea quand, lors d’une livraison à Buchebuie, un groupe de soldats qui passait par là était en train de faire de l’entrainement avec ces fameuses armes à poudre noire et tout de suite j’ai adoré ces armes, bruyantes, dévastatrices, explosif dans tous les sens du terme. Je voulais en utiliser une, en avoir une, voire même plus, en fabriquer une.
Je m’étais rapproché des soldats et j’avais commencé à leur poser des questions au sujet de leurs armes à feu. Je dois bien admettre qu’au début il n’était pas très content qu’une petite souris de mon genre traîner dans leur patte durant la journée mais ils allaient devoir rester dans la région pendant deux semaines et à force que je venais les voir tous les jours au bout d’un moment les artificiers de la troupe commencée à apprécier ma curiosité et à m’apprécier.
L’un d’eux plus particulièrement, un vieux Dogue du nom de Barnabas Von Schaffer, un artificier qui rien qu’a son visage à eux son lot de bataille… et d’incident de tir. Il m’appréciait bien avec ma curiosité et ma fascination pour les armes à feu et la poudre noire et la veille du départ de sa troupe il allait me faire la proposition qui allait changer ma vie, je me souviens de ses paroles comme si c’était hier : « Dis gamin, ça te dit de nous accompagner ? On retourne à Citta Dei Venti, là-bas j’ai des amis à l’académie d’artificier, qui sais, tu pourras peut-être y faire ton trou, qu’est-ce que t’en pense ? »
À cette proposition j’étais excité comme un gamin… alors oui effectivement à cette époque j’étais un gamin mais vous m’avez compris !
Le soir même j’ai discrètement pris mes affaires, le peu d’économie que j’avais et je partais en compagnie des soldats en direction de Citta Dei Venti. Adieu la vie de fermier et place à un avenir d’artificier.
Et Citta Dei Venti, mes aïeux Citta Dei Venti… Essayez un seul instant de vous mettre à la place d’une petite souris de 8 ans, qui c’était découvert une passion pour les armes à feu et l’invention en général, qui n’avait jusqu’à présent connu que des champs et des mines, qui se retrouve catapulté dans la ville la plus avancée du monde. Essayez de faire ça juste un instant et vous toucherez du bout du doigt l’émerveillement qui a été le mien ce jour-là.
Je m’étais bien préparé durant le voyage pour faire preuve de mon intérêt et de mes compétences à l’académie et, sans vouloir me vanter, leur examen d’entrée n’était qu’une simple formalité.
Là-bas j’y ai acquis les toutes les compétences nécessaires pour devenir un artificier, maîtrise des armes à feu, de la poudre noire, des armes de sièges (canon et bombarde pour ne citer qu’eux) et même un peu d’escrime, un bon artificier est à la fois soldat et artilleur. Je suis sorti de l’académie avec les honneurs et j’ai pu faire usage de mes talents à plusieurs moments, que ce soit dans la milice locale à mes débuts ou avec des mercenaires plus tard qui me payaient mieux, il fallait bien le reconnaitre.
Mais aujourd’hui je veux aller plus loin, je ne veux pas seulement me servir de ce genre d’arme, non. Je veux en créer et pas simplement faire une énième version d’un fusil ou d’un canon, ce serait trop simple, trop ennuyeux. Je veux réinventer tout cela, créer une véritable révolution qui changera le visage de toutes les guerres à venir !
Pourquoi est-ce que les armes à feu me passionnent temps, me demandez-vous ? Mais mon ami, c’est parce qu’ils sont les égalisateurs ultimes ! Avec une arme à feu je peux, moi, une simple souris, par l’unique force d’un seul de mes doigts déchaîner une puissance capable de tuer même le plus imposant des Bovinae.
Mais on pourrait aller tellement plus loin, des armes plus précise ou plus rapide ou, encore mieux, plus dévastatrice. J’ai beaucoup d’idées en tête des plans tellement grandioses !
Mais malheureusement ce genre de projet demande du temps mais surtout beaucoup d’argent et pas mal d’influence pour à la fois se protéger des rabat-joie et pour pouvoir les proposer au plus grand nombre. Il va falloir que je loue mes services pour me faire une réputation et que je me trouve un mécène pour enfin pouvoir prendre du temps pour la conception et aux tests de mes inventions.
Ma famille vient de la Verte Fosse, c’est là où je suis né d’ailleurs. Nous sommes une petite famille, je n’ai moi-même que 4 frères et 2 sœurs, je suis d’ailleurs le troisième de la famille, et c’est la même pour mes oncles et tantes, je comprends que pour d’autres cela peut paraître énorme mais croyait moi quand je vous dis que pour des souris ma famille est plutôt dans la moyenne basse.
On vivait dans une petite ferme ou l’on cultivait des champs et vendait notre production à Buchebuie. C’est une petite vie d’agriculteur paysan, simple, tranquille… et d’un ennuie mortel. Dès mes six ans j’avais compris que la vie d’un agriculteur ne me plairait pas mais toute ma famille me rétorquait que c’était la seule chose qu’il était possible de faire, j’entends encore ma mère me rétorquer :
« Allons bon et pour faire quoi ? Toute la famille travaille au champ et nous nous attendons bien à ce que tu en fasses de même Ikkit. » … et je peux vous dire que s’il y a bien un moment qui définit la structure d’une famille de souris, c’est rigide !
Je me consolais néanmoins en fabriquant toutes sortes d’outils, j’aime bricoler, comprendre comment les choses fonctionnent, les démonter pour les remonter en mieux fait… ce qui parfois m’amenait des ennuis avec mes parents quand je démontais un objet de la maison sans pour autant arriver à le remonter. Eh ! Il n’y avait pas 36 façons de faire pour savoir comment est-ce qu’une horloge fonctionne, non ? Et j’aurais certainement pu le remonter si je n’avais pas perdu des pièces dans le procédé.
Lorsque j’avais huit ans tout changea quand, lors d’une livraison à Buchebuie, un groupe de soldats qui passait par là était en train de faire de l’entrainement avec ces fameuses armes à poudre noire et tout de suite j’ai adoré ces armes, bruyantes, dévastatrices, explosif dans tous les sens du terme. Je voulais en utiliser une, en avoir une, voire même plus, en fabriquer une.
Je m’étais rapproché des soldats et j’avais commencé à leur poser des questions au sujet de leurs armes à feu. Je dois bien admettre qu’au début il n’était pas très content qu’une petite souris de mon genre traîner dans leur patte durant la journée mais ils allaient devoir rester dans la région pendant deux semaines et à force que je venais les voir tous les jours au bout d’un moment les artificiers de la troupe commencée à apprécier ma curiosité et à m’apprécier.
L’un d’eux plus particulièrement, un vieux Dogue du nom de Barnabas Von Schaffer, un artificier qui rien qu’a son visage à eux son lot de bataille… et d’incident de tir. Il m’appréciait bien avec ma curiosité et ma fascination pour les armes à feu et la poudre noire et la veille du départ de sa troupe il allait me faire la proposition qui allait changer ma vie, je me souviens de ses paroles comme si c’était hier : « Dis gamin, ça te dit de nous accompagner ? On retourne à Citta Dei Venti, là-bas j’ai des amis à l’académie d’artificier, qui sais, tu pourras peut-être y faire ton trou, qu’est-ce que t’en pense ? »
À cette proposition j’étais excité comme un gamin… alors oui effectivement à cette époque j’étais un gamin mais vous m’avez compris !
Le soir même j’ai discrètement pris mes affaires, le peu d’économie que j’avais et je partais en compagnie des soldats en direction de Citta Dei Venti. Adieu la vie de fermier et place à un avenir d’artificier.
Et Citta Dei Venti, mes aïeux Citta Dei Venti… Essayez un seul instant de vous mettre à la place d’une petite souris de 8 ans, qui c’était découvert une passion pour les armes à feu et l’invention en général, qui n’avait jusqu’à présent connu que des champs et des mines, qui se retrouve catapulté dans la ville la plus avancée du monde. Essayez de faire ça juste un instant et vous toucherez du bout du doigt l’émerveillement qui a été le mien ce jour-là.
Je m’étais bien préparé durant le voyage pour faire preuve de mon intérêt et de mes compétences à l’académie et, sans vouloir me vanter, leur examen d’entrée n’était qu’une simple formalité.
Là-bas j’y ai acquis les toutes les compétences nécessaires pour devenir un artificier, maîtrise des armes à feu, de la poudre noire, des armes de sièges (canon et bombarde pour ne citer qu’eux) et même un peu d’escrime, un bon artificier est à la fois soldat et artilleur. Je suis sorti de l’académie avec les honneurs et j’ai pu faire usage de mes talents à plusieurs moments, que ce soit dans la milice locale à mes débuts ou avec des mercenaires plus tard qui me payaient mieux, il fallait bien le reconnaitre.
Mais aujourd’hui je veux aller plus loin, je ne veux pas seulement me servir de ce genre d’arme, non. Je veux en créer et pas simplement faire une énième version d’un fusil ou d’un canon, ce serait trop simple, trop ennuyeux. Je veux réinventer tout cela, créer une véritable révolution qui changera le visage de toutes les guerres à venir !
Pourquoi est-ce que les armes à feu me passionnent temps, me demandez-vous ? Mais mon ami, c’est parce qu’ils sont les égalisateurs ultimes ! Avec une arme à feu je peux, moi, une simple souris, par l’unique force d’un seul de mes doigts déchaîner une puissance capable de tuer même le plus imposant des Bovinae.
Mais on pourrait aller tellement plus loin, des armes plus précise ou plus rapide ou, encore mieux, plus dévastatrice. J’ai beaucoup d’idées en tête des plans tellement grandioses !
Mais malheureusement ce genre de projet demande du temps mais surtout beaucoup d’argent et pas mal d’influence pour à la fois se protéger des rabat-joie et pour pouvoir les proposer au plus grand nombre. Il va falloir que je loue mes services pour me faire une réputation et que je me trouve un mécène pour enfin pouvoir prendre du temps pour la conception et aux tests de mes inventions.
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