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L'entente de Norill

Il était une fois, dans les temps ancestraux, un jeune Homme nommé Norill était éperdument en amour avec la nature. Les rainures des arbres était aussi voluptueux que les courbes d'une dame. L'odeur des fleurs était son parfum favoris. Se baigner à même un cours d'eau était un acte intime à ses yeux et l'immensitée des cieux était sa confidente, lui offrant à coeur ouvert tout ses états d'âmes.    Par contre sa famille n'était pas tailé du même bois, ceux-ci brulait, piétinait et teintait tout ce qu'il touchait, car tel était les choses, pour un peuple sans voie, un peuple sauvage et aveugle.    Norill en eu assez de ces barbares et parti tenter de trouver sa voie, au delà des plaines des Guilhirs.    Sur sa route, sans la moindre trace de cette teinte laissé par les siens, il vie au loin un lièvre, avec la patte brisé. Il s'aprocha de la bête et lui demanda "Oh pauvre proie, que puis-je faire pour t'aider" Le lièvre répondit: "Ma tanière est non loin, mais dans mon état, il me prendrais 100 jour et 100 nuit m'y rendre. Porte moi et je t'offrirai tout ce que j'ai"  Et c'est alors qu'il prit la bête dans ses bras qu'il vit l'ampelur de la tâche, car le lièvre pèsait aussi lourd d'un sac de pierre. Portant la bête sur son dos, Il avanca pas a pas, lourement jusqu'à la tanière de celle-ci. Et dès qu'il passa le seuil de l'antre, le lièvre révéla sa vrai nature, un ours Immense, couvert d'une fourrure noir comme nuit. "Je me nomme Gratan. Et toi, homme, tu t'es montré un grand protecteur pour les petites choses. Marche dans cette voie et je t'offrirai ma protection à toi et ta descendance. Norill hésita "Je ne cherche pas à protéger mon peuple, car ceux-ci ne mérite pas ma protection. Oui, je suis protecteur, mais eux ne font que détruire." Le grand ours pointa de son museau une grande montagne pleine de givre " Va au pic de ces montagnes, tu y verra la terre entière. Puisse tu trouver ta voie a ce sommet"    Et c'est ainsi que Norill parti en direction de la montagne. La neige le frappait en plein visage, obstruait sa vision, mais il percu une lueur de flamme au loin, dans une caverne. Il alla s'y réfugier de la tempête, mais il n'était pas seul dans la caverne. "Qui va là? Que me voulez-vous?" demanda une vieille voix en écho.  Norill répondit "Je me nomme Norill, je cherche ma voie, mais une tempête ma frappé, puis-je me réchauffer près de votre feu. L'habitant de la grotte se révéla être un vieu bouc "Tu peux rester, je me repose également. Je me nomme Taranis et ma vie a été assez longue, après 100 été et 100 hivers et moi non plus je n'ai pas trouvé ma voie. J'ai passé une vie entire à la chercher. J'ai maintenant peur de mourrir et d'être oublier de tous.  Norill se prononca "Permettez moi de raconter votre histoire. Votre vie sera raconté durant plus de 100 été et 100 hiver si je les partage pour vous."  La chèvre, surprise, répondit: "Tu serait près à abandonner ta quête et rester ici a veiler sur ma dépouille? Ainsi que tes enfants et leurs enfants?" Et c'est alors que Norill eu peur également, de s'emprisonner lui même dans le tombeau de sa promesse.  "Je ne pourrai rester et prendre soi de ta dépouille, Taranis, mais je pourrai t'enfermer dans la pierre. La montagne elle même saura surveiller ta dépouille et je chanterai tes louanges à mes enfants et les enfants de mes enfants. Ma voie n'est pas de rester ici, la route m'appelle et ma voie m'attends."    Taranis accepta cette entente et chanta les 100 étés et 100 hivers de sa longue vie avant de sombrer dans son dernier sommeil.  Lorsque la tempête s'estompa il scella le tobeau par des pierres, tel que promis et redescendit la montagne.    La route fut longue et Norill commencait à perdre espoir. Il portait en lui la faveur de Gratan et Taranis, mais n'avait toujours pas trouvé sa propre voie. Perdu dans ses pensées il releva le regard et compris qu'il était perdu dans les brumes. Sans repère, le désespoir le prit au coeur. C'est alors qu'un corbeau vint se percher sur une branche non loin.  "Homme, que fait tu perdu, loin des tiens? Que cherche tu au point de te perdre ainsi? Je suis Damona et les brumes sont mon domaine. Pose tes questions et j'offrirai réponses." Norill se resaisit et demanda au rapace:"Comment fait on pour savoir quel est notre voie, dans ce monde?"  La Corneille surprise: "Excellente question. Parfois, lorsque l'on réfléchit et que l'on regarde qu'à l'intérieur se sa propre tête, l'on deviens aveugle à ce qui nous entoure. Le monde est rempli de bonnes réponses, et parfois la meilleur solution est d'oublier qui nous somme pour les comprendres."   Norill était confus par les paroles de l'oiseau:" Se perdre soi même! Je suis déjà perdu dans la brume et mes questions m'accompagne toujours. Comment faire pour m'oublier moi même." La cormeille répondit:" Si tu es prêt à demander conseil à la nature qui t'entoure, il faudra t'y abandonner. Bonen chance, homme"    Et d'un battement d'aile, la corneille fit dissiper la brume qui entourait Norill et révéla la forêt qui l'entourait. COuverte d'un tapis de neige, Norill ne su quoi faire. Perdu, confus, il erra dans les grands bois. Entouré par les arbres, il redécouvrit leur beauté, la nature lui parlait, lui parlant d'une langue qu'il ne connaissait pas, une langue que seul es bête pouvait comprendre. C'est ainsi que Norill compris que pour enlever ses soucis, il devais redevenir une bête. La chaleur du feu de Taranis l'accompagnais, la vigueur de Gratan également et la sagesse de Damona guidait ses pas dans la neige, alors qu'il chassait et cueillais tout le nécessaire pour survivre.    Plusieurs jours plus tard, une tempête se leva, couvrant la forêt d'une tourmente. Celle-ci se mis à parler à Norill: "Toi, homme, qui cueille la vie de ma forêt. Que cherche tu? Je suis Cerunnos et ces bois son mon domaine"  Norill, ne voyant pas d'ou venait la voix, alors il cria au loin dans la tempête: "Je suis Norill, du peuple des hommes, je cherche ma voie. Gratan ma offert la protection de l'ours. Je porte en moi le savoir de Taranis et la sagesse de Damona. Qu'à tu a m'offrir Cerunnos, seigneur de l'hiver?"  La tempête couvrait la forêt de givre, fouettait le visage de l'homme :"Tu ose demander ce que la foret a à offrir, après avoir manger de mes bêtes et cueilli de mes fruits. La forêt est généreuse, mais voici une parole de sagesse ô grand Norill. La forêt prend autant qu'elle donne. Que le froid te prenne un oeil et 3 doigts, ô grand Norill. Toi qui cherche ta voie, mais qui abandonne les tiens."    Norill fut frappé d'un grand froid et d'éclats de glace et tel que promis par le seigneur de l'hiver, il perdit un oeil et 3 doigts. Accablé, il continua sa route dans la tempête et sorti de l'aurée de la forêt dans les grands champs teinté de son enfance.  Au premier coup d'oeil, voyant le bastion de son peuple, il compris ce que la nature lui avait appris, il compris que sa voie était de diriger son peuple, lui faire découvrir la richesse de la terre et lui faire gouter le fruit de ses efforts.

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