Secrétariat Général au Conjectures Chronologiques SGCC
Succédant directement en importance le Directoire, le Secrétariat Général aux Conjectures Chronologiques (SGCC) est l’organisme de simulation historique de la République. Créé en 2447, à la suite de la Commission Extraordinaire de Conjecture Historique, le SGCC supervise et encadre les groupes d’études sociales et de cliodynamique de toute la République, leur affectant ressources et personnels. Le rôle de cette institution est d’interpréter du court au long terme les informations recueillies par les services de renseignements de Stellapradènes.
La chaire crût rapidement, le gouvernement républicain trouvant un intérêt nouveau dans cette science de la prédiction. En quatre ans, la chaire de cliodynamique avait atteint la taille d’un département de recherche et, plusieurs décennies plus tard, les théories mathématiques d’Augusto Centrada Bo’ch furent approfondies à un point tel que la prédiction historique devenait théoriquement possible.
Une telle découverte fut rapidement étouffée et démentie, une controverse académique discréditant les chercheurs concernés eut lieu. Ceux-ci furent officieusement intégrés aux programmes de recherches secrets de la République Alquépoliste intégrant la Section de Recherche en Conjecture Historique SRCH surnommée « Search ».
Leur rôle pour l’astélpréra fut décisif dans la Guerre Civile Républicaine notamment avec la création du CASIG et du Plan de la République.
Prononcé Cé-èc ou Cèc. Il arrive parfois que le Secrétariat juge une intervention nécessaire pour favoriser une tournure d’évènements. C’est dans cet objectif que sont créé les CEIEC, des groupes d’études chargés de produire les objectifs de missions et une première analyse. L’exécution de ces opérations de hautes importances est souvent laissée aux services secrets, toutefois elles sont soumises à un contrôle du secrétariat qui dispose d’un droit de véto quant à l’exécution de l’opération. C’est uniquement dans ce cadre que sont déployés les « Techniciens » du Secrétariat, le secret de leur existence représente un atout considérable pour la République.
Histoire :
Le SGCC fut créé sur en 2447, pérennisant la Commission Extraordinaire de Conjecture Historique (CECH) créée au début de la guerre civile. Pour comprendre les origines de la CECH il faut revenir en 2302, l’année où fut ouverte la chaire de Cliodynamique de l’université Dolors Bo’ch. Lors de la Première Guerre Orionne, de nombreux intellectuels fuirent les assauts initiaux des seigneurs de guerre et des corporations, parmi lesquels de nombreux réfugiés d’Illoma, qui disposait alors du meilleur département universitaire des sciences sociales du Bras. La période de reconstruction après la Première Guerre Orionne permit un développement technologique et économique sans précédent, période durant laquelle l’Astelpréra assimila les découvertes des mondes annexés. Ainsi, la Cliodynamique, spécialité d’Illoma intégra la tradition académique strellanaise.La chaire crût rapidement, le gouvernement républicain trouvant un intérêt nouveau dans cette science de la prédiction. En quatre ans, la chaire de cliodynamique avait atteint la taille d’un département de recherche et, plusieurs décennies plus tard, les théories mathématiques d’Augusto Centrada Bo’ch furent approfondies à un point tel que la prédiction historique devenait théoriquement possible.
Une telle découverte fut rapidement étouffée et démentie, une controverse académique discréditant les chercheurs concernés eut lieu. Ceux-ci furent officieusement intégrés aux programmes de recherches secrets de la République Alquépoliste intégrant la Section de Recherche en Conjecture Historique SRCH surnommée « Search ».
Leur rôle pour l’astélpréra fut décisif dans la Guerre Civile Républicaine notamment avec la création du CASIG et du Plan de la République.
Subdivisions :
Bureau de l’intégration des Données (BID)
Premier Bureau du secrétariat en taille, le BID dispose d’une liaison permanente avec les différents services de renseignements. Les informations recueillies sont alors traitées puis injectées dans le CASIG et les calculateurs pour interprétations. Le service par lequel transitent les informations est par ailleurs totalement sous la coupe de la César.Bureau des Calculs Prédictifs (BCD)
Etape suivante du BID, à tel point que la fusion des deux bureaux est ramenée régulièrement sur la table, les données intégrées sont exploitées par des chercheurs, sociologues, psychologues et chrono-estimateurs. Le CASIG fournit de nombreuses simulations prédictives pour illustrer les thèses de ces chercheurs. Les rapports du BCP sont transmis au Directoire souvent accompagnées de recommandations de réactions et de plans de contingences.Bureau de l’Intendance des Installations Contrôlées (BIIC)
Le BIIC est l’organe administratif du Secrétariat. Son rôle est d’assurer l’autonomie des installations, le salaire des employés... A noter, le Service de Sécurité Interne est intégré au BIIC mais reste un service civil, dépourvu d’armes létales et aux effectifs réduits. Il s’agit d’abord d’un organisme de police, la sécurité stratégique étant assurée par une force interservice entre l’armée et la César.Bureau de l’Encadrement des Techniciens (BET)
Objet de fierté de l’ancien Secrétaire Général Elaine Feliz Ruiz, le rattachement du BET offrit une nouvelle carte dans la main du Secrétariat. Le BET a la charge d’appliquer les technologies républicaines de pointes à former les agents spéciaux des CEIEC surnommés « Techniciens » les meilleurs dont dispose l’astelpréra.Commission d’Exception aux Interventions aux Effets Contrôlés (CEIEC)
Prononcé Cé-èc ou Cèc. Il arrive parfois que le Secrétariat juge une intervention nécessaire pour favoriser une tournure d’évènements. C’est dans cet objectif que sont créé les CEIEC, des groupes d’études chargés de produire les objectifs de missions et une première analyse. L’exécution de ces opérations de hautes importances est souvent laissée aux services secrets, toutefois elles sont soumises à un contrôle du secrétariat qui dispose d’un droit de véto quant à l’exécution de l’opération. C’est uniquement dans ce cadre que sont déployés les « Techniciens » du Secrétariat, le secret de leur existence représente un atout considérable pour la République.
Rôle :
Le SGCC joue un rôle central dans la formulation et l'application de la politique alquépoliste. Dépositaire du CASIG, les renseignements glanés par la César et les autres Directions sont traitées par les cliodynamiciens du Secrétariat, qui interprètent les résultats du grand Simulateur.Organisation mère : République Centralisée Alquépoliste des Apochies
Fondation : 2447 (successeur de Commission Extraordinaire de Conjecture Historique)
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