Rien
Les pontes des grandes Églises et différents théologues de renom ne réussissant pas à se mettre d'accord sur la création du monde, l'on décida, lors d'un conclave auquel assista L'Unique, de "résumer" les contes créationnistes.
Le tronc commun ainsi extrait est le suivant : "Au début, il n'y avait rien. Une immensité de vide, dérivant à l'infini parmi le néant le plus total. Mais Rien fini par s'ennuyer, et créa. De par son immensité, il créa le tout en une fraction de temps si petite, qu'il se rendit compte dans le même moment de sa propre existence. Ainsi tout fut créé, et Rien disparut."
Texte fortement décrié par la communauté scientifique de l'époque et par les prêtres, du fait de sa vision très moqueuse des mythes fondateurs, mais texte qui néanmoins fit consensus après plusieurs années par sa simplicité d'application : en effet, il ne s'oppose à aucun autre conte créationniste.
Rien, lors de la fraction de seconde où il exista, aurait créé deux choses : la matière inerte, et la matière vivante : les Ancestraux.
Bien que disparu (ou extrêmement discret), l'être que l'on appelle aussi le créateur de toute chose est toujours vénéré. Comme il n'a jamais fait preuve de la moindre velléité, ses adeptes n'ont pas de textes sacrés, à l'exception de ceux que les mortels ont eux-mêmes inventés. Cette étrangeté a créé de graves dissensions, si bien que deux cultes ennemis peuvent prier le même dieu sans en être au courant.
Ce flou dans le culte de Rien est accentué par le fait qu'il n'a jamais accordé de miracle à qui que ce soit, du moins depuis que quelqu'un a décidé de tenir le compte, à une unique exception.
Après La grande croisade, qui vit s’affronter les forces liguées d’Onim contre l’Église du vide, des prêtres de Rien extrémistes, toutes tentatives de prier le créateur était très mal vue. Les centenaires passant, la haine contre ce type de culte a faibli et n’est maintenant conservé que par des irréductibles.
Parmi les mythes créationnistes dont on a extrait le "tronc commun" qu'est rien, on peut noter :
Le tronc commun ainsi extrait est le suivant : "Au début, il n'y avait rien. Une immensité de vide, dérivant à l'infini parmi le néant le plus total. Mais Rien fini par s'ennuyer, et créa. De par son immensité, il créa le tout en une fraction de temps si petite, qu'il se rendit compte dans le même moment de sa propre existence. Ainsi tout fut créé, et Rien disparut."
Texte fortement décrié par la communauté scientifique de l'époque et par les prêtres, du fait de sa vision très moqueuse des mythes fondateurs, mais texte qui néanmoins fit consensus après plusieurs années par sa simplicité d'application : en effet, il ne s'oppose à aucun autre conte créationniste.
Rien, lors de la fraction de seconde où il exista, aurait créé deux choses : la matière inerte, et la matière vivante : les Ancestraux.
Bien que disparu (ou extrêmement discret), l'être que l'on appelle aussi le créateur de toute chose est toujours vénéré. Comme il n'a jamais fait preuve de la moindre velléité, ses adeptes n'ont pas de textes sacrés, à l'exception de ceux que les mortels ont eux-mêmes inventés. Cette étrangeté a créé de graves dissensions, si bien que deux cultes ennemis peuvent prier le même dieu sans en être au courant.
Ce flou dans le culte de Rien est accentué par le fait qu'il n'a jamais accordé de miracle à qui que ce soit, du moins depuis que quelqu'un a décidé de tenir le compte, à une unique exception.
Après La grande croisade, qui vit s’affronter les forces liguées d’Onim contre l’Église du vide, des prêtres de Rien extrémistes, toutes tentatives de prier le créateur était très mal vue. Les centenaires passant, la haine contre ce type de culte a faibli et n’est maintenant conservé que par des irréductibles.
Parmi les mythes créationnistes dont on a extrait le "tronc commun" qu'est rien, on peut noter :
Children
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