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Lupalam

Lignée fortement liée à Égora et Zachal, on y retrouve aussi un nombre important des suivants de Vaalar, car les civilisations des mondes de Lupalam sont souvent partagées entre les plaisirs de l'esprit et ceux du corps, et ces derniers causent souvent des guerres.
  Zachal, qui trouve entre autres du plaisir dans la bataille, ne fait rien pour changer cet état de fait, et Vaalar s'en réjouit fortement.
Ainsi, Lupalam tiens son surnom de lignée de l'art autant pour la peinture, le spectacle et autres arts des muses que pour les arts militaires.

Il n'est pas rare que des problèmes soient réglés par le champ et la danse, même improvisée : une personne avec une volonté importante se retrouve souvent entourée d'une foule chantant et dansant, qui devine les mouvements et les paroles avant. Ce phénomène encore peu comprit, nommé Walztrem, est endémique à Lupalam.
  Retour au rupestre : dans la lignée de Lupalam, les catastrophes qui détruisent les civilisations et font retourner les survivants au niveau rupestre sont le plus souvent causées par des guerres entre écoles artistiques et des sabotages à grandes échelles, ou alors par la volonté de certains de posséder certaines pièces d’arts appartenant à d’autres, ce qui cause, à nouveau, des guerres.  
Traditions
Escorte de ménestrel : les nomades, bédouins et marchands prenant part à des caravanes ont l'habitude, en plus de louer les services de garde, d'avoir au moins un ou deux ménestrels à faire partie de leurs voyages.
Ils sont généralement placés en tête de cortège et chantent tant que la caravane avance. Selon la légende, ces chants permettraient de calmer la terre et les cieux, afin de pouvoir tranquillement s'y avancer.
En plus de cette raison culturelle, les ménestrels de voyage ont un véritable impact : leurs champs améliorent l'humeur des voyageurs, annoncent qu'ils ne sont pas violents, et attirent parfois le regard bienveillant d'Égora.
  Amusie : les habitants de Lupalam sont beaucoup plus prompts à juger d’amusie (pathologie empêchant la compréhension du rythme, le plus souvent d’origine neuronale) toute personne ayant du mal à chanter ou danser. De la même manière, les personnes n’appréciant pas la beauté picturale (que ce soit des paysages ou des tableaux) sont vus comme malades.
Ne pas comprendre les arts est jugé comme un handicap majeur ; dans certains des mondes de Lupalam, ce handicap est vu comme une tare, qui fait des gens touché des êtres inférieurs.
Épreuve de scène : dans les cultures locales qui ont des rites de passages ou des épreuves en leur sein, celles-ci prennent le plus souvent la forme d'épreuve de scène. Le contenu varie grandement, mais la forme est celle d'une "scène", ou se trouve l'épreuve en elle-même, et de "gradins", des épreuves préliminaires que l'apprenti doit traverser avant d'attendre la scène. Ces gradins peut être métaphorique et être un voyage de plusieurs lieux. Certains traverse-mondes cherchant à "vaincre" ces épreuves plutôt qu'à les accomplir les entaches en trouvant des raccourcis, en "passant par les coulisses", ce qui est vu comme une insulte.
Dans les cas les plus extrêmes, tous les combats peuvent se dérouler via des épreuves de scènes ; les acteurs-combattants peuvent alors être très surpris lorsqu'un adversaire excédé passe par les coulisses et se joue ainsi de leurs pièges.
  Groupe de magie : comme les incantations magiques de Lupalam sont une véritable musique, le meilleur moyen de renforcer celle-ci est de créer des groupes de mages, chacun ayant son propre "instrument". La magie musicale est bien plus facile à travailler en groupe que la magie habituelle, ce qui en fait un exemple pour beaucoup de chercheur traverse-monde.
Type
Planar Sphere/Grouping

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