Limbes

S’il est généralement admis que les dieux et les êtres supérieurs vivent au-dessus des dimensions ou dans l’espace entre ces dernières, cette connaissance a amené plusieurs chercheurs à se demander s’il existait un « en dessous », le premier ayant théorisé son existence étant Berabert Gun'gnir, en ces mots :
 

« Si les dieux habitent l’Élysée et si l’Élysée se trouve en dehors d’Onim, et si les dieux nous disent : « vois comme il est difficile de descendre en tes lieux d’homme pour moi » alors l’Élysée doit se trouver au-dessus. Et donc, s’il existe un au-dessus, il existe un en dessous. »

  Rapidement surnommé la basse-fosse ou les limbes, cette espace résiste pour l’instant à toute tentative d’exploration et à toute observation. Ceci peut être dû à deux choses : premièrement, la basse-fosse est peut-être si différente de nos contrés qu’il est tout simplement impossible de s’y rendre pour des êtres matériels, comme il est impossible de se rendre dans l’au-dessus sans être un dieu. Deuxièmement, les limbes n’existent peut-être pas.
Cependant, cette dernière hypothèse est souvent rejetée car les limbes aiguisent l’appétit de nombre de chercheurs et de conquérants. D’autres, plus prudents, reconnaissent que les limbes existent peut-être mais qu’il vaut mieux ne pas trop s’y intéresser car, comme pour un dieu descendant dans le multivers, il serait possible pour un habitant de la basse-fosse de remonter pour nous rencontrer.

La vie dans les limbes

Si les limbes existent, alors la vie y a trouvé son chemin. Si en notre monde les dieux peuvent descendre, alors ce qui vit dans les limbes peuvent y monter.

Cette citation, d’Alebert Gun'gnir, poursuivant les travaux de celui qu’il appelle « demi-père », théorisent l’existence d’une vie dans les limbes.
Pour l’instant, ceci reste un exercice de pensée : rien n’a prouvé l’existence des limbes, et donc rien n’a prouvé l’existence d’êtres y habitant (qui sont nommés enfant-des-limbes ou, parfois, Tsehom, adaptation critiqué d’un verset déjà très critiqué du prêtre déchu Odysse).