Anâtman
Les anâtmans, parfois simplement appelé Sans-âme forment une espèce change-forme (donc souvent confondu avec les changelins) dont la capacité d’imitation de la parole et des coutumes des sapients est sans égale – il est en vérité impossible de différencier d’un vrai sapient, qu’ils prennent la forme d’un orc, d’un elfe ou bien d’un triton (leur capacité de changement de forme étant limité à l’humanoïde, avec une possibilité de queue et de membres surnuméraires).
Bien que beaucoup se laissent prendre à l’idée qu’un être pouvant converser d’une manière si développée est forcément capable d’émotions, ce n’est pas le cas : un anâtman ne ressent rien et, s’il peut mettre en place de longs plans, ceux-ci ont toujours comme but de lui apporter nourriture.
Il consomme celle-ci en embrassant sa proie, lui fichant alors un dard rétractile se trouvant au niveau de sa glotte. Celle-ci paralyse la cible, puis la fait fondre de l’intérieur, permettant à l’anâtmans de boire sa proie à la manière d’une araignée, après quelques jours de digestion externe.
Nous rappelons, en notre qualité de Grandes Écoles, que les anâtmans ne doivent pas être considérés comme sapient : ils ont été rangés sous la catégorie de monstre, et non d’animaux, de par le risque extrême qu’ils posent pour les sociétés traverse-monde.
Quelle que soit l’émotion qu’ils semblent montrer, celle-ci est fausse est provient non pas de sentiment mais de leur capacité d’imitation.
Beaucoup de traverse-monde au cœur trop grand se sont laissé manipuler par un anâtman et on connu une fin funeste, nous forçant à émettre cette mise en garde.
Bien que beaucoup se laissent prendre à l’idée qu’un être pouvant converser d’une manière si développée est forcément capable d’émotions, ce n’est pas le cas : un anâtman ne ressent rien et, s’il peut mettre en place de longs plans, ceux-ci ont toujours comme but de lui apporter nourriture.
Il consomme celle-ci en embrassant sa proie, lui fichant alors un dard rétractile se trouvant au niveau de sa glotte. Celle-ci paralyse la cible, puis la fait fondre de l’intérieur, permettant à l’anâtmans de boire sa proie à la manière d’une araignée, après quelques jours de digestion externe.
Nous rappelons, en notre qualité de Grandes Écoles, que les anâtmans ne doivent pas être considérés comme sapient : ils ont été rangés sous la catégorie de monstre, et non d’animaux, de par le risque extrême qu’ils posent pour les sociétés traverse-monde.
Quelle que soit l’émotion qu’ils semblent montrer, celle-ci est fausse est provient non pas de sentiment mais de leur capacité d’imitation.
Beaucoup de traverse-monde au cœur trop grand se sont laissé manipuler par un anâtman et on connu une fin funeste, nous forçant à émettre cette mise en garde.
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