Adenos Delio
Premier enfant de Parolier (a.k.a. Mais-qui-sait)
Adenos était un orateur et poète, élève d'Ifaniel d'Urbonz.
Ce jeune nain ne connu jamais ses parents mais l'ensemble du corps enseignant remplaça ses derniers, à son grand plaisir : quand l'un lui refusait un caprice, un autre acceptait.
Il lui servit de petites mains et de garde, pour repousser le public lors des déclamations en public, avant de se mettre à écrire de son côté. Selon certaine rumeur, lui et Ifaniel aurait été concubin, malgré le jeune âge d'Adenos à l'époque.
Mais ce dernier mourut avant qu'il ne le rattrape et, perdu, Adenos ne retrouva le chemin de Parolier qu'en 161. Il reprit alors la maison d'Ifaniel et son "rôle", aiguisant sa prose pour que les anciens mécènes d'Ifaniel deviennent les siens.
Enfance
Adenos est le "premier enfant de Parolier", pour qui le règlement intérieur fut changé : tout enfant trouvé dans les locaux de cette grande école est, depuis, pris en charge par celle-ci.Ce jeune nain ne connu jamais ses parents mais l'ensemble du corps enseignant remplaça ses derniers, à son grand plaisir : quand l'un lui refusait un caprice, un autre acceptait.
Adolescence
De par certains de ses actes et délits mineurs, la grande école décida d'arrêter de l'entretenir, ce qui le mit à la rue en l'an 32. Ce fut là qu'il entra dans le cercle d'Ifaniel d'Urbonz, qui l'impressionna beaucoup.Il lui servit de petites mains et de garde, pour repousser le public lors des déclamations en public, avant de se mettre à écrire de son côté. Selon certaine rumeur, lui et Ifaniel aurait été concubin, malgré le jeune âge d'Adenos à l'époque.
Vie adulte
Fortement marqué par la mort d'Ifaniel en 154, qui fut poignardé sur le chemin de sa maison (alors qu'Adenos l'attendait à ladite maison), Adenos quitta la grande école pendant quelques années afin de retrouver le meurtrier, Hector Palmain.Mais ce dernier mourut avant qu'il ne le rattrape et, perdu, Adenos ne retrouva le chemin de Parolier qu'en 161. Il reprit alors la maison d'Ifaniel et son "rôle", aiguisant sa prose pour que les anciens mécènes d'Ifaniel deviennent les siens.
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