Aasimar

Les Aasimars sont habituellement des représentants de leur race d'origine parfait en tout point. Leur physiologie et leur caractère représente l'idéal l'essence d'un des aspects de leur Dieu Créateur et ils sont exempts de tout défauts, tant physiques que mentaux. Cette perfection est étrange, mais fascinante pour les autres membres de leur races qui ne peuvent s'empêcher de les trouver différent, mais attirant. Selon la nature du Dieu l'ayant créé et l'aspect de celui-ci qu'il incarne, un Aasimar peut être doté d'une forme physique au sommet de ce que sa race peut atteindre (et même au delà), d'une apparence d'outre-monde hypnotisante ou d'une voix enchanteresse.

Pensés et crées par les Dieux, les Aasimars ne viennent pas au monde à travers le même processus que les êtres originaire du plan matériel. Avant d'être de chair et de sang, un Aasimar est une idée, un projet, qui est ensuite placé sur le monde par son créateur. Les Aasimars de la Première Génération entrèrent dans celui-ci grâce à un déploiement de magie divine concentré, déjà mature, intelligent et investis d'un but. Leur mains était vides et leur corps nus, mais le monde ne demandait qu'à être saisit. Lors des siècles qui suivirent, les rares Aasimars qui furent créés naquirent parfois de la même manière, parfois en tant que nourrisson déposé par les cieux au bon endroit au bon moment et parfois comme un enfant à naître issus de l’Immaculée Conception.   Quoi qu'il en soit, ces être divins partagent tous un trait commun: leur origine divine n'est pas héréditairement transmissible. Lorsque deux Aasimars se reproduisent ensemble, ils amoidrissent la pureté de leur lignage divin et, bien que leur descendance soient elle aussi un Aasimar, son sang seras moins pur, moins proche de leurs Dieux Créateurs. L'énergie divine y seras simplement moins concentrée et le cycle perdurera jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une faible étincelle et non plus un brasier, ce que la Première Génération apprit à ses dépends. Par contre, s'il devait enfanter avec un autre membres des Races Divines, mais pas un Aasimar, leur progéniture ne serait plus du tout un Aasimar, mais simplement un membre de la race dominante ou du croisement de ses parents, mais posséderas un plus fort héritage divin en sa ligné, héritage pouvant ressortir chez lui ou ses propres enfants. Enfin, si l'un d'entre eux en venait à tenter de se reproduire avec un des membres des Races Élémentaires ou Kalil Ktal, il se révélerai totalement stérile et ce à cause d'un phénomène inexplicable, les races divines pouvant habituellement s'hybrider.

Selon le même principe que les nains ou les membres de Races Élémentaire, les Aasimars grandissent relativement rapidement, plus ou moins à la même vitesse qu'un membre normale de leur propre race. Lorsqu'ils atteignent l'âge adulte, ils commencent ensuite à vieillir très lentement. La Première Génération semblait immortelle et aucun cas ne fut reporté d'un de ces Aasimars mourant de vieillesse. Étonnamment, certain d'entre eux semblèrent tout de même s’éteindre naturellement à un âge plus ou moins avancé après avoir achevé un accomplissement majeur, le but de toute une vie.   De manière similaire, les Aasimars issus de races à la longévité supérieure comme les nains et les elfes semblant pouvoir vivre éternellement, mais ne sont tout de même pas immunisé aux vieillissement physique et mental, bien que celui-ci semble être largement ralentie. Ceux provenant de races à la longévité normale ou plus courte, comme les humains et les orcs, vivent toute de même beaucoup plus longtemps que leurs autres congénères, parfois 2 ou 4 fois plus longtemps.    Lorsqu'ils meurent, leur corps repose sous terre, comme celui-ci de leur frères, mais leurs restant sont souvent considéré comme sacré par les membres des Races Divines, surtout ceux de la même race.

Créés à partir d'énergie d'un autre plan, les Aasimars ne sont, sur bien des aspects, pas limités par les restrictions physiques qui astreignent d'autres races. Leur vision peut percer les ténèbres de la plus noire des nuits et leur sens sont plus acérés que celui de l'homme ordinaire.