General Summary
Le silence qui régnait dans l'office venait d'être brisé. Le bruit caractéristique d'un gantelet d'acier venait de frapper le chambranle métallique de la porte, indiquant aisément à qui sait l'entendre la nature de l'opportun.
-Entrez ! Dit-elle, en se s'installant dignement sur son siège.
La porte s'ouvrit, découvrant un officier des Dévôts en armes portant sur le visage les signes d'un voyage éreintant. Il s'agissait du lieutenant Nazarino, un solide vétéran lourdement balafré approchant la cinquantaine. Il tenait fermement dans sa main gauche un épais parchemin, tout en ayant la main droite portée à la garde de sa rapière.
-Archonte, voici le rapport que vous réclamiez. Le son de sa voix trahissait une animosité que même sourd aurait pu percevoir. Son visage, crispé et sérieux, témoignait d'une vaine tentative de préserver une composition professionnelle.
La dame sourit légèrement, écartant d'un mouvement de la main les différents parchemins anciens qu'elle était occupée à décrypter. Son bureau en était parcouru, tout autant que d'imposants tomes et tablettes probablement destinées à en traduire le contenu.
-Merci beaucoup, Lieutenant. Mais je vous en prie, installez-vous. Vous avez dû faire un long voyage, à en voir votre regard. Elle désignait alors le siège libre en face de son bureau.
-Je vous remercie, Archonte, mais je préfère rester debout. Il s'approchait, tendant le parchemin vers la jeune femme. Tenez.
L'Archonte épia alors l'homme l'instant de quelques secondes. Sa colère était manifeste, et rendrait surement une approche directe trop téméraire. Cependant, la dame n'était pas connue pour son tact au sein de la cité, en dépit de son évidente empathie.
-Vous semblez contrarié, Lieutenant. Rassurez-moi, la mission s'est bien passée ?
Le lieutenant souffla de contrariété par ses larges narines, se redressant alors devant l'une des autorités d'Ondanera, l'Archonte des Sceaux.
-La mission s'est bien passée, Archonte. Nous avons trouvé le tombeau précisément à l'endroit indiqué, et avons pu suivre toutes les précautions mentionnées dans la notre que vous nous avez transmise.
-Hé bien, c'est parfait dans ce cas. Saaja Sakir se levait alors, dévoilant les riches étoffes composant sa tenue d'Archonte : une robe droite de satin damassé rouge et or garnie au niveau du buste par un corset généreusement évasé de cuir châtain et gravé de motifs floraux. Elle fit le tour de son bureau, pour s'appuyer contre celui-ci et être à la hauteur du vétéran. Ses charmes révèlés ne manquaient pas d'attendrir quelque peu le bougre, et c'était sans doute bien là l'objectif de la manœuvre.
-...Meneo...Non. Se reprit le vétéran. Moi et mes hommes, nous demandons pourquoi ce ne sont pas des dévôts qui ont été envoyé pour révéler ce tombeau. Ils jasent, Archonte, et estiment que l'on ne leur fait pas assez confiance.
-Ah, je comprend. Et pourtant, la réponse est évidente lieutenant. Comme tous les Archontes, je souhaite préserver les citoyens d'Ondanera, auxquels vous figurez ainsi que vos hommes. Engager des mercenaires pour des missions dangereuses, comme visiter une tombe antique, me semblait préférable à risquer vos vies. Surtout compte tenu des menaces qui pèsent en permanence sur la ville et ses dépendances. Rassurez-vous, vous aurez tôt fait de prendre des risques pour la ville.
L'Archonte afficha un sourire réconfortant, et posa alors sa main sur le parchemin que tendait toujours l'officier. La mainmise de l'homme ayant perdu de fermeté suite aux mots de l'Archonte, il lâcha l'écrit sans broncher. Il se redressa sous la forme d'un salut militaire, tendant par l'opération de faire oublier les rougeurs qu'il sentait apparaître sur son visage meurtri.
-Evidemment, je rassurerai Meneo quant à mes intentions. Renchérit la dame avec un sourire espiègle. Je vous remercie de m'avoir averti du quiproquo, Lieutenant Nazarino.
L'officier hochait légèrement la tête, se rendant compte qu'il n'aurait probablement pas dû en dire autant. Une inclinaison brève du buste marqua son départ, et il se dirigeait donc vers la porte du bureau des sceaux. Saaja, toujours installée sur le bord du bureau, pu apercevoir de nouveaux visiteurs alors que la porte s'ouvrait. Elle même peinait à cacher sa détresse, à la vue de ce qui l'attendait.
Profitant du départ du lieutenant et de l'ouverture marquée par la porte, l'un des Trois fit une faste révérence, rivalisant de flagornerie avec les mots qui suivirent :
-Archonte des Sceaux, votre éclat d'aujourd'hui n'a d'égal que le grand succès de votre opération à la tombe méridionale. Seriez-vous assez aimable pour nous accorder quelques brèves minutes ?
L'homme vêtu d'une simple bure se redressait alors, dévoilant un visage plissé de nombreuses rides et armé d'un sourire mielleux. A son cou pendait un médaillon d'or serti d'une unique pierre de qwartz laiteuse taillée en carré parfait, symbole de son austère dieu. L'Archonte haussa les yeux aux plafonds, ce que le lieutenant ne manqua pas de remarquer.
-Lieutenant, faites entrer le Dîmier, voulez-vous ? Disait-elle avec fermeté. Vous pouvez fermer la porte derrière vous.
Nazarino s'exécuta en masquant au possible son sourire moqueur, devant une scène qu'il devinait pénible pour l'Archonte des Sceaux. Manifestement ravi, le prêtre entra dans l'office en s'inclinant à nouveau de tout son buste, ce que Saaja ignora complètement en reprenant la route de son siège. Se préparant à passer un mauvais moment, la dame croisa les jambes et s'installa aussi confortablement que possible, le parchemin posé sur le bureau devant elle. La porte maintenant fermée, scellait de fait les prochaines minutes de la dirigeante.
-Hé bien je vous écoute...Azaad c'est bien ça ?
Raté. L'homme secoua poliment du chef, et minauda une réponse.
-Sauf votre respect, et bien loin de moi l'envie de souligner un égarement, mon nom est Urmoz. Moi et mes comparses nous ressemblons fort, je le déplore, compte tenu de l'obligation de...
-Certes oui. Interrompit Saaja. Mes excuses. Et donc, qu'est-ce que vous amène jusqu'à moi ?
-Oui, bien sûr. Je venais vous rendre directement compte de l'inventaire réalisé dans la tombe royale du Prince Osorkon. Ayant accompagné l'expédition des Dévôts, j'espère ainsi pouvoir humblement vous éclairer de mes conclusions.
-N'est-ce pas ce dont traite déjà ce rapport ? Disait l'Archonte agacée, en désignant le parchemin que venait de lui remettre le lieutenant.
-Oh, il est fort probable que ce soit en effet le cas. Votre vigilance est à la hauteur de votre position, Archonte...Mais voyez-vous, nous avons d'ordinaire pour habitude de présenter nos conclusions oralement à son Excellence Trödel-Maus, Archonte de la Dîme. Ainsi, sommes-nous averti que nos augustes souverains disposent de l'ensemble des informations requises à l'exercice de leur noble fonction.
Saaja baissa la tête en soufflant de dépit. Sachant d'expérience qu'on ne peut si aisément se débarrasser des comptables flagorneurs de Roderich, elle renonça à toute possibilité d'en réchapper et accusa l'ennui avec un flegme royal.
-Entrez ! Dit-elle, en se s'installant dignement sur son siège.
La porte s'ouvrit, découvrant un officier des Dévôts en armes portant sur le visage les signes d'un voyage éreintant. Il s'agissait du lieutenant Nazarino, un solide vétéran lourdement balafré approchant la cinquantaine. Il tenait fermement dans sa main gauche un épais parchemin, tout en ayant la main droite portée à la garde de sa rapière.
-Archonte, voici le rapport que vous réclamiez. Le son de sa voix trahissait une animosité que même sourd aurait pu percevoir. Son visage, crispé et sérieux, témoignait d'une vaine tentative de préserver une composition professionnelle.
La dame sourit légèrement, écartant d'un mouvement de la main les différents parchemins anciens qu'elle était occupée à décrypter. Son bureau en était parcouru, tout autant que d'imposants tomes et tablettes probablement destinées à en traduire le contenu.
-Merci beaucoup, Lieutenant. Mais je vous en prie, installez-vous. Vous avez dû faire un long voyage, à en voir votre regard. Elle désignait alors le siège libre en face de son bureau.
-Je vous remercie, Archonte, mais je préfère rester debout. Il s'approchait, tendant le parchemin vers la jeune femme. Tenez.
L'Archonte épia alors l'homme l'instant de quelques secondes. Sa colère était manifeste, et rendrait surement une approche directe trop téméraire. Cependant, la dame n'était pas connue pour son tact au sein de la cité, en dépit de son évidente empathie.
-Vous semblez contrarié, Lieutenant. Rassurez-moi, la mission s'est bien passée ?
Le lieutenant souffla de contrariété par ses larges narines, se redressant alors devant l'une des autorités d'Ondanera, l'Archonte des Sceaux.
-La mission s'est bien passée, Archonte. Nous avons trouvé le tombeau précisément à l'endroit indiqué, et avons pu suivre toutes les précautions mentionnées dans la notre que vous nous avez transmise.
-Hé bien, c'est parfait dans ce cas. Saaja Sakir se levait alors, dévoilant les riches étoffes composant sa tenue d'Archonte : une robe droite de satin damassé rouge et or garnie au niveau du buste par un corset généreusement évasé de cuir châtain et gravé de motifs floraux. Elle fit le tour de son bureau, pour s'appuyer contre celui-ci et être à la hauteur du vétéran. Ses charmes révèlés ne manquaient pas d'attendrir quelque peu le bougre, et c'était sans doute bien là l'objectif de la manœuvre.
-...Meneo...Non. Se reprit le vétéran. Moi et mes hommes, nous demandons pourquoi ce ne sont pas des dévôts qui ont été envoyé pour révéler ce tombeau. Ils jasent, Archonte, et estiment que l'on ne leur fait pas assez confiance.
-Ah, je comprend. Et pourtant, la réponse est évidente lieutenant. Comme tous les Archontes, je souhaite préserver les citoyens d'Ondanera, auxquels vous figurez ainsi que vos hommes. Engager des mercenaires pour des missions dangereuses, comme visiter une tombe antique, me semblait préférable à risquer vos vies. Surtout compte tenu des menaces qui pèsent en permanence sur la ville et ses dépendances. Rassurez-vous, vous aurez tôt fait de prendre des risques pour la ville.
L'Archonte afficha un sourire réconfortant, et posa alors sa main sur le parchemin que tendait toujours l'officier. La mainmise de l'homme ayant perdu de fermeté suite aux mots de l'Archonte, il lâcha l'écrit sans broncher. Il se redressa sous la forme d'un salut militaire, tendant par l'opération de faire oublier les rougeurs qu'il sentait apparaître sur son visage meurtri.
-Evidemment, je rassurerai Meneo quant à mes intentions. Renchérit la dame avec un sourire espiègle. Je vous remercie de m'avoir averti du quiproquo, Lieutenant Nazarino.
L'officier hochait légèrement la tête, se rendant compte qu'il n'aurait probablement pas dû en dire autant. Une inclinaison brève du buste marqua son départ, et il se dirigeait donc vers la porte du bureau des sceaux. Saaja, toujours installée sur le bord du bureau, pu apercevoir de nouveaux visiteurs alors que la porte s'ouvrait. Elle même peinait à cacher sa détresse, à la vue de ce qui l'attendait.
Profitant du départ du lieutenant et de l'ouverture marquée par la porte, l'un des Trois fit une faste révérence, rivalisant de flagornerie avec les mots qui suivirent :
-Archonte des Sceaux, votre éclat d'aujourd'hui n'a d'égal que le grand succès de votre opération à la tombe méridionale. Seriez-vous assez aimable pour nous accorder quelques brèves minutes ?
L'homme vêtu d'une simple bure se redressait alors, dévoilant un visage plissé de nombreuses rides et armé d'un sourire mielleux. A son cou pendait un médaillon d'or serti d'une unique pierre de qwartz laiteuse taillée en carré parfait, symbole de son austère dieu. L'Archonte haussa les yeux aux plafonds, ce que le lieutenant ne manqua pas de remarquer.
-Lieutenant, faites entrer le Dîmier, voulez-vous ? Disait-elle avec fermeté. Vous pouvez fermer la porte derrière vous.
Nazarino s'exécuta en masquant au possible son sourire moqueur, devant une scène qu'il devinait pénible pour l'Archonte des Sceaux. Manifestement ravi, le prêtre entra dans l'office en s'inclinant à nouveau de tout son buste, ce que Saaja ignora complètement en reprenant la route de son siège. Se préparant à passer un mauvais moment, la dame croisa les jambes et s'installa aussi confortablement que possible, le parchemin posé sur le bureau devant elle. La porte maintenant fermée, scellait de fait les prochaines minutes de la dirigeante.
-Hé bien je vous écoute...Azaad c'est bien ça ?
Raté. L'homme secoua poliment du chef, et minauda une réponse.
-Sauf votre respect, et bien loin de moi l'envie de souligner un égarement, mon nom est Urmoz. Moi et mes comparses nous ressemblons fort, je le déplore, compte tenu de l'obligation de...
-Certes oui. Interrompit Saaja. Mes excuses. Et donc, qu'est-ce que vous amène jusqu'à moi ?
-Oui, bien sûr. Je venais vous rendre directement compte de l'inventaire réalisé dans la tombe royale du Prince Osorkon. Ayant accompagné l'expédition des Dévôts, j'espère ainsi pouvoir humblement vous éclairer de mes conclusions.
-N'est-ce pas ce dont traite déjà ce rapport ? Disait l'Archonte agacée, en désignant le parchemin que venait de lui remettre le lieutenant.
-Oh, il est fort probable que ce soit en effet le cas. Votre vigilance est à la hauteur de votre position, Archonte...Mais voyez-vous, nous avons d'ordinaire pour habitude de présenter nos conclusions oralement à son Excellence Trödel-Maus, Archonte de la Dîme. Ainsi, sommes-nous averti que nos augustes souverains disposent de l'ensemble des informations requises à l'exercice de leur noble fonction.
Saaja baissa la tête en soufflant de dépit. Sachant d'expérience qu'on ne peut si aisément se débarrasser des comptables flagorneurs de Roderich, elle renonça à toute possibilité d'en réchapper et accusa l'ennui avec un flegme royal.
Show spoiler
25/10/818 Trouvé ! La première tombe est à quelques jours d'ici, dans un ancien lit de rivière dont m'a parlé Balqis. Compte tenu des écrits de Djaou III, cette tombe serait destinée à un Prince nommé Osorkon, ainsi qu'à sa famille et à ses généraux. Les écrits ne mentionnent pas leur nom, mais il devrait être aisé de les apprendre sur place. L'individu serait également un prêtre, probablement de Nub-Hoteb, le dieu des crues, qui était déjà prié comme tel à ce moment de Nékhéara. 05/11/818 Cela va coûter cher, mais l'opération doit être menée secrètement et rapidement. Je n'ai pas envie que Roderich me bloque pour des raisons de budget, ou que Balqis prenne son air offusqué lorsqu'elle apprendra que je veux piller une tombe. Il vaut mieux demander pardon, que de rater une occasion. Un prêteur du Califat est en ville, je vais le persuader de me prêter ce qu'il me manque et commencer à rassembler ce qu'il me faut. 10/11/818 J'ai les mercenaires. Des gens dispensables et compétents, sans vraies attaches, dont la disparition ne m'amènerait aucun ennuis si les choses se passaient mal là dessous :J'ai aussi récupéré les explosifs. Ils ont au moins été capable d'exploser mes économies, et de m'endetter jusqu'au front. Espérons qu'ils exploseront aussi bien le granit taillé de Nékhéara. 24/11/818
- Hazim El-Maouad : un demi-elfe mercenaire manipulant les runes magiques. Indispensable pour activer les explosifs magiques dont on aura besoin pour percer le lit de la rivière.
- Ozon Terenas : probablement le seul nécromancien à des milles à la ronde qui ne soit ni issu du Califat ou du Sultanat, ni sous l'autorité directe ou indirecte de Nergui. Une perle rare quoi, utile pour visiter un tombeau.
- Zalthu Makhel : Le demi-orc m'a tout de suite plu dans les rapports que j'ai eu de lui. Fidèle, pas bavard, solide.
- Jiovani Maroni : Un mercenaire d'Ondanera, qui a su faire profil bas après une mission chez l'excentrique de la tour au nord. Il connaît notre historique, et pourra raisonner les autres à coup d'horribles rappels historiques, s'ils tentent de piquer des pièces au butin.
Mon budget a mal. Très mal. Les limiers de Roderich ont commencé à sentir mes affaires. Je sens qu'ils m'ont à l'oeil, je vais donc devoir faire attention. Si ça se trouve, ils connaissent le prêteur qui m'a aidé. Diantre. 12/12/818 Les mercenaires sont partis. Étrangement, le négociant qui m'a vendu les explosifs aussi. Et en même temps. A tous les coup il va tenter de me doubler. Pourvu que les mercenaires soient à la hauteur. Je vais devoir prévoir une seconde opération si ils ne reviennent pas d'ici 15 jours... J'ai déjà mal au budget. 25/12/818 Ils sont revenus ! Et en plus, ils ont zigouillé l'abruti qui pensait me prendre à revers. Heureusement que j'ai eu le temps de savoir où il cachait son argent entre temps. Enfin, MON argent. Je vais même pouvoir rembourser les intérêts des prêteurs. Les mercenaires ont été dignes de héros. Je leur ai donné 50 pièces d'or chacun, en plus. Ce qui est finalement une maigre compensation, quand on sait qu'avec cette opération, ils m'ont fait économiser gros. Ils m'ont ramené une relique, ainsi que trois objets magiques que je vais devoir analyser. Tout ça est un succès. Les autres archontes ne vont pas pouvoir dire que je ménage mes efforts pour Ondanera. Évidemment, je vais prendre une partie du résultat pour moi avant d'envoyer les dévôts récupérer le reste. Après tout, tout travail mérite salaire. Pourvu qu'ils me laissent tranquille avec ça. 30/12/818 J'ai récupéré ce que je voulais via des mercenaires fidèles, avant l'arrivée des dévôts. De quoi contribuer à ma future demeure. J'ai prévenu Meneo, qui a fait envoyer un officier et des dévôts discrets pour récupérer le butin. Pour m'éviter d'être taxée de voleuse, j'ai demandé à ce qu'ils prennent un Dîmier avec eux. Tout est bien qui finit bien.
- 800 pièces d'or pour les mercenaires.
- 1000 pièces d'or pour les explosifs.
- 50 pièces d'or pour les informateurs.
Rapport du Dîmier Urmoz
Tombeau du Prince Osorkon
- Une masse dorée (inestimable !) : il s'agit d'une relique, la Masse de Nub-Hoteb
- Trois objets magiques : Un Sceptre des crues, une Couronne de prêtre du delta, un Anneau des eaux sacrées
- 4000 pièces d'or anciennes
- Meubles anciens, recouverts d'or : 250 pièces d'or
- Un vase canope complet, en or : 50 pièces d'or
- Une momie préservée, et ouvragée : 400 pièces d'or
- Un collier royal ancien, en or et pierres précieuses : 250 pièces d'or
- 3 parchemins anciens : à évaluer
Tombeau de Ma-Ke-Ra et Sa-Be-Ra, femme et fille du Prince
- 250 pièces d'or en tout
- Deux momies préservées et ouvragées : 400 pièces d'or
- Deux vases canopes complets, en or : 100 pièces d'or
Tombeau d'Asten et Neferka, lieutenants et proches du Prince
- 100 pièces d'or
- Un vase canope intact
- Deux momies intact
Tombeau de Mered, aide de camp du Prince
- 200 pièces d'or
- Un vase canope intact
TOTAL : 6000 pièces d'or
Sans compter les objets à identifier
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