General Summary
Le 22/07/818
Encore une fois, on se dirige vers le temple d’Hassessi. Décidément, ce temple se trouve au nœud de bien des affaires dans la région. Si tout se passe bien, on récupère Tibor et la Compagnie du Taureau, et on occupe le Temple en prime ; si ça se passe mal … Espérons juste que tout se passe bien. Je me demande quand même comment les choses se sont déroulées là-bas depuis « la mystérieuse affaire des bassins sacrés empoisonnés », grandiose je dois bien l’avouer, j’espère juste trouver le cadavre de Wasu’Saarma sur place, on réussira peut-être à mieux s’entendre cette fois.
Le 24/07/818
On arrive en vue des portes, et on dirait que les mercenaires n’ont pas l’air de nous empêcher de passer, c’est plutôt bon signe, j’imagine. Parwaaze préfère rester à l’extérieur au cas où, je vais laisser mon zombie avec elle, il ne présente pas très bien celui-ci de toute façon.
Bordel de merde, les choses ont tourné au vinaigre d’une force, c’est impressionnant. Cet enfoiré de Sedlak a voulu nous racketter, et genre pas juste un peu, du vrai bon gros racket des familles. Il acceptait de nous laisser le temple « en l’état » mais lui et ses hommes rompaient leur contrat avec la Sérénissime et embarquaient avec eux tout ce qui avait de la valeur et n’était pas cloué au sol pour partir vers de plus verts horizons … Comme si j’allais les laisser faire. J’ai essayé de négocier, sans succès, cette brute était aussi têtue que l’animal qui donne son nom à sa Compagnie. Finalement, il a décidé d’attaquer, demandant à ses hommes de ne pas intervenir, plus ou moins une sorte de duel, je nous aurais tellement fait flécher à sa place, mais bon, n’a pas un cerveau qui veut (si tant est qu’il sache ce que c’est).
Honnêtement, je ne le dirais jamais assez, l’invisibilité ça sauve la vie. C’est qu’il était violent le bougre, heureusement que j’avais Roderich avec moi pour faire office de bouclier, parce que vu les mandales qu’il mettait, je n’aurais pas survécu à deux d’entre elles. Mais, à sa grande surprise, je ne suis pas le faible petit lèche-cul qu’il s’imaginait sans doute, et mon sort de foudre à fait son travail à la perfection. L’expression sur son visage lorsqu’il s’est pris le premier éclair, ça valait son pesant d’or. C’est pendant le combat que j’ai senti que quelque chose commençait à partir en couille, vu que mon zombie planqué à l’extérieur s’est fait détruire, ces gens n’ont aucun respect pour les morts. Bref, après un combat difficile, Roderich et moi avons finalement abattu le taureau (je me réserve son cadavre pour un usage ultérieur, lui et moi allons faire de grandes choses ensemble), mais c’est à ce moment-là que deux types lourdement armés et clairement pas de la compagnie ont débarqué en exigeant de parler à Tibor (ils étaient trois mais l’un d’entre eux s’est fait suriner aux portes par une entité inconnue … L’efficacité de Parwaaze n’est plus à démontrer).
Encore penchés sur le cadavre dudit Tibor, on a demandé à savoir de quoi il s’agissait et le leader de ce duo a demandé qu’on désigne un coupable dans la compagnie pour la mort de son collègue. En temps normal, j’aurais peut-être réfléchi davantage mais entre le racket de Tibor, l’adrénaline du combat et les menaces non-voilées de ces types, j’avais pas du tout la tête à ça. Je l’ai envoyé se faire foutre, en lui suggérant avec autant de tact qu’il en a mis dans ses menaces, que pour autant que je le sache, ça pouvait être lui qui l’avait tué son pote. Il l’a mal pris, évidemment. Les deux nous ont attaqués, évidemment. Roderich et moi étions déjà fatigués du précédent combat, j’ai bien cru qu’on allait y passer cette fois. Mais non, c’était très tendu, et on est passé à un cheveu d’elfe de la mort, mais on a finalement triomphé. On a appris par la suite, en interrogeant les mercenaires, que Tibor avait passé ses quelques mois de cellule ici en compagnie d’un dignitaire du Despotat et qu’il comptait les rejoindre avec la Compagnie après nous avoir dépouillé ici. Cet « Inquisiteur ? » je me souviens plus très bien du titre, aurait monté un camp au nord du lac d’Ondanera et il avait envoyé les trois types pour faire la jonction avec Tibor et ses hommes.
Après discussion avec les officiers restant de la Compagnie, la plupart ont décidé de retourner à Ondanera, seule une poignée a décidé de tenter sa chance avec le Califat. On a laissé les mercenaires se servir un peu mais pas trop dans les réserves du Temple, pas comme si on avait le choix de toute façon, ils étaient quand même une vingtaine et on était trois dont deux totalement épuisés. On en a profité pour fouiller le Temple, après avoir traversé le monticule de cadavres des victimes de l’empoisonnement et de l’évasion des Taureaux. Je ne pourrais jamais tous les conserver en état, ça m’attriste de laisser une telle source de main d’œuvre disparaitre, encore une preuve que ces types n’ont aucun respect pour les morts.
Encore une fois, on se dirige vers le temple d’Hassessi. Décidément, ce temple se trouve au nœud de bien des affaires dans la région. Si tout se passe bien, on récupère Tibor et la Compagnie du Taureau, et on occupe le Temple en prime ; si ça se passe mal … Espérons juste que tout se passe bien. Je me demande quand même comment les choses se sont déroulées là-bas depuis « la mystérieuse affaire des bassins sacrés empoisonnés », grandiose je dois bien l’avouer, j’espère juste trouver le cadavre de Wasu’Saarma sur place, on réussira peut-être à mieux s’entendre cette fois.
Le 24/07/818
On arrive en vue des portes, et on dirait que les mercenaires n’ont pas l’air de nous empêcher de passer, c’est plutôt bon signe, j’imagine. Parwaaze préfère rester à l’extérieur au cas où, je vais laisser mon zombie avec elle, il ne présente pas très bien celui-ci de toute façon.
Bordel de merde, les choses ont tourné au vinaigre d’une force, c’est impressionnant. Cet enfoiré de Sedlak a voulu nous racketter, et genre pas juste un peu, du vrai bon gros racket des familles. Il acceptait de nous laisser le temple « en l’état » mais lui et ses hommes rompaient leur contrat avec la Sérénissime et embarquaient avec eux tout ce qui avait de la valeur et n’était pas cloué au sol pour partir vers de plus verts horizons … Comme si j’allais les laisser faire. J’ai essayé de négocier, sans succès, cette brute était aussi têtue que l’animal qui donne son nom à sa Compagnie. Finalement, il a décidé d’attaquer, demandant à ses hommes de ne pas intervenir, plus ou moins une sorte de duel, je nous aurais tellement fait flécher à sa place, mais bon, n’a pas un cerveau qui veut (si tant est qu’il sache ce que c’est).
Honnêtement, je ne le dirais jamais assez, l’invisibilité ça sauve la vie. C’est qu’il était violent le bougre, heureusement que j’avais Roderich avec moi pour faire office de bouclier, parce que vu les mandales qu’il mettait, je n’aurais pas survécu à deux d’entre elles. Mais, à sa grande surprise, je ne suis pas le faible petit lèche-cul qu’il s’imaginait sans doute, et mon sort de foudre à fait son travail à la perfection. L’expression sur son visage lorsqu’il s’est pris le premier éclair, ça valait son pesant d’or. C’est pendant le combat que j’ai senti que quelque chose commençait à partir en couille, vu que mon zombie planqué à l’extérieur s’est fait détruire, ces gens n’ont aucun respect pour les morts. Bref, après un combat difficile, Roderich et moi avons finalement abattu le taureau (je me réserve son cadavre pour un usage ultérieur, lui et moi allons faire de grandes choses ensemble), mais c’est à ce moment-là que deux types lourdement armés et clairement pas de la compagnie ont débarqué en exigeant de parler à Tibor (ils étaient trois mais l’un d’entre eux s’est fait suriner aux portes par une entité inconnue … L’efficacité de Parwaaze n’est plus à démontrer).
Encore penchés sur le cadavre dudit Tibor, on a demandé à savoir de quoi il s’agissait et le leader de ce duo a demandé qu’on désigne un coupable dans la compagnie pour la mort de son collègue. En temps normal, j’aurais peut-être réfléchi davantage mais entre le racket de Tibor, l’adrénaline du combat et les menaces non-voilées de ces types, j’avais pas du tout la tête à ça. Je l’ai envoyé se faire foutre, en lui suggérant avec autant de tact qu’il en a mis dans ses menaces, que pour autant que je le sache, ça pouvait être lui qui l’avait tué son pote. Il l’a mal pris, évidemment. Les deux nous ont attaqués, évidemment. Roderich et moi étions déjà fatigués du précédent combat, j’ai bien cru qu’on allait y passer cette fois. Mais non, c’était très tendu, et on est passé à un cheveu d’elfe de la mort, mais on a finalement triomphé. On a appris par la suite, en interrogeant les mercenaires, que Tibor avait passé ses quelques mois de cellule ici en compagnie d’un dignitaire du Despotat et qu’il comptait les rejoindre avec la Compagnie après nous avoir dépouillé ici. Cet « Inquisiteur ? » je me souviens plus très bien du titre, aurait monté un camp au nord du lac d’Ondanera et il avait envoyé les trois types pour faire la jonction avec Tibor et ses hommes.
Après discussion avec les officiers restant de la Compagnie, la plupart ont décidé de retourner à Ondanera, seule une poignée a décidé de tenter sa chance avec le Califat. On a laissé les mercenaires se servir un peu mais pas trop dans les réserves du Temple, pas comme si on avait le choix de toute façon, ils étaient quand même une vingtaine et on était trois dont deux totalement épuisés. On en a profité pour fouiller le Temple, après avoir traversé le monticule de cadavres des victimes de l’empoisonnement et de l’évasion des Taureaux. Je ne pourrais jamais tous les conserver en état, ça m’attriste de laisser une telle source de main d’œuvre disparaitre, encore une preuve que ces types n’ont aucun respect pour les morts.
Après avoir tout fouillé, on a pu retrouver le butin que les Initiés avaient ramené au Temple lors de leur prise de pouvoir à Ondanera, pas grand-chose de changé de ce côté, éventuellement quelques babioles de plus mais guère plus (j’avais mis mon serpent en surveillance discrète de la Razvan, elle semble très intéressée par les reliques, je ne veux pas qu’elle en vole une sans qu’on le sache). En revanche, on a trouvé une urne à prophétie dans les chambres d’Hassessi, un avertissement et une menace de la part du Grand Parleur, nous disant qu’Hassessi avait tout vu venir (ben tiens, c’est facile d’écrire ça et de l’enfermer dans une urne, moi aussi je peux le faire) et que si on s’établit dans le Temple, on subira les catastrophes engendrées par la malédiction du dieu à l’encontre des profanateurs de son sanctuaire. Et alors, on enchaine les catastrophes depuis notre arrivée, ça ne nous changera pas trop. On a également trouvé une faille partant du bassin dans lequel barbotait la pieuvre géante et s’enfonçant dans les profondeurs de la montagne. Tout semble indiquer que les survivants du Temple, avec l’Abhani et Wasu’Saarma, se sont enfuis par là.
Maintenant que la situation est réglée ici (pour l’instant, on verra bien si les calamités promises par le poulpe des montagnes se produisent réellement, en même temps, toute la région semble maudite, c’est comme annoncer qu’il va pleuvoir quand on est en automne, tu ne prends pas un gros risque en faisant ce genre de prédiction, et je m’y connais) on peut tranquillement rapatrier tout ça vers la cité. On décidera après de si on doit ou pas occuper le Temple, personnellement je suis pour, ça ferait un siège du pouvoir parfait pour notre petite théocratie naissante.
On va avoir du pain sur la planche pour en faire quelque chose de convenable...
Mais Tibor va nous aider maintenant. Pas vrai Tibor ?
Il est d’accord.
Commentaires