General Summary
26/09/818
Nous avons décidé de la marche à suivre pour la première étape de la construction des routes.
Vers le sultanat, à l'ouest, nous enverrons un de nos navires pour remonter la rivière jusqu'à l’embranchement où nous voulons construire le fort. Cette expédition sera dirigée par le capitaine Demetrios. Elle comportera une cinquantaine de personnes.
Vers le califat, au sud-est, nous envoyons un des lieutenants de Meneo accompagnés d'une quinzaine d'hommes d"armes et une cinquantaine de civils. Ils vont rejoindre Tu-Teh-Nateb et cartographier les régions qu'ils traverseront.
Nico nous informe qu'il souhaiterait envoyer 2 de ses suivants avec chacune des expéditions, pour assurer la documentation et l'observation de la nature. J’espère des découvertes intéressantes de la part de ces gens...
Saaja nous informe de la progression de la mise en place d'une salle pour stocker les objets magiques et du recrutement de personnes pour la servir. Je ne vois pas pourquoi on devrait les sortir de la mine alors que c'est clairement l'endroit le plus sécurisé de toute la ville. Je sais que je suis le seul du conseil à ne pas faire confiance à Saaja, mais ça reste une dépense d'argent et de surface ridicule quand elle pourrait tout à fait s'aménager un bureau dans la mine !
Après ces inanités, l'attention du conseil est reportée sur la lampe que nous avions trouvé dans la crypte.
Après ouverture, il en sort de la fumée qui se transforme en une sorte de génie, tel que décrit dans certains contes écrits par le fameux auteur rumani Hezar Afsan. Il se présente comme étant Jodam le Bienveillant. Il nous annonce qu'il résidait dans la tombe depuis un voire 2 siècles, il se rappelle de l'homme qui le portait quand nous l'avons nous même trouvé.
Lui et ses frères (pas forcément de lien familiaux ?) dirigeaient un certain nombres de cités prospères dans les régions environnantes. L'un d'entre eux, Jesou l'Accompli, avait succombé et Jodam et les siens s'allièrent pour le vaincre. Ils tentèrent d'accomplir un rituel pour l'enfermer et réussirent, mais furent dupés et tous enfermés à leur tour, dans des lampes. Le nom d'accompli nous rappelle Hassessi et Jodam nous confie qu'il s'agissait d'un des siens, qui dirigeait la cité de l'éclairé, Kessalla, mais était loin de sa propre cité, Vanos, qui était en bord de mer et de montagne à la fois.
Nous abordons la question de Latia, qui était ancienne quand il était jeune. Elle aurait chaviré vers le mal après leurs emprisonnement. Il n'avait pas trop de contact avec. Darif le Magnifique était également ancien, il serait plus puissant que les rois djinns (le nom du petit groupe de Jodam) et potentiellement responsable de leur condition ampoulière... Peut être serait il interéssé par l'acquisition d'une de ses lampes ?
Evidemment, l'autre voleuse ne peut pas retenir ses mains de la lampe bien longtemps, avec l'aval des autres pour retourner l'écharde sous l'ongle. Je lui prie de bien vouloir noter autant que possible sur les informations qu'il voudra bien donner, elle compte discuter avec lui. J'espère qu'elle ne prendra pas mon opposition trop à coeur et nous apportera de vastes connaissances sur une époque trop peu connue.
Un des mes braves assistants m'accoste et m'informe qu'un groupe de campeur avait était attaqué par des sirènes alors qu'ils bivouaquaient au bord de l'eau. Leurs vivres ont été dérobés, leurs chariots emportés par les eaux et une pluie hautement localisée s'est abattue sur leur campement, laissant supposer qu'il ne s'agissait pas d'un phénomène météorologique naturel. Plusieurs camps seraient concernés par ces attaques.
29/09/818
Nous nous rendons au bord de notre lac pour tenter de communiquer avec les sirènes. La sirène bleue de l'autre fois est présente et Parwaaze joue de la cythare pour attier son attention, avec succès. La sirène se joint à elle en chantant des chansons incroyablement sinistres. Nous discutons ensuite avec, et Nico leur offre de la nourriture qu'elle semble beaucoup apprécier. Elle dit s'appeler Leyli, et que notre présence semble les déranger. Elle nous rappelle également que nous devions enquêter sur la grande pile au centre du lac, comme elle serait envahit d'étranges hommes poissons (qui n'auraient supposément rien à voir avec des sirènes).
02/10/818
Nous rentrons ensuite à Ondanera pour nous préparer à aller sur l'île en question. L'erefin, Venza, nous dit qu'il pense que les siens seraient sur l'île, ou proche de cette île.
J'en profite pour apposer un verrou magique sur la mine, ayant récupéré les matériaux nécessaires récemment. Seuls moi et mes 3 acolytes supérieurs pourront ouvrir la porte, permettant une meilleure surveillance de nos ressources et me permettant de savoir exactement quand Saaja compte venir se servir dans nos réserves magiques.
Nous avons décidé de la marche à suivre pour la première étape de la construction des routes.
Vers le sultanat, à l'ouest, nous enverrons un de nos navires pour remonter la rivière jusqu'à l’embranchement où nous voulons construire le fort. Cette expédition sera dirigée par le capitaine Demetrios. Elle comportera une cinquantaine de personnes.
Vers le califat, au sud-est, nous envoyons un des lieutenants de Meneo accompagnés d'une quinzaine d'hommes d"armes et une cinquantaine de civils. Ils vont rejoindre Tu-Teh-Nateb et cartographier les régions qu'ils traverseront.
Nico nous informe qu'il souhaiterait envoyer 2 de ses suivants avec chacune des expéditions, pour assurer la documentation et l'observation de la nature. J’espère des découvertes intéressantes de la part de ces gens...
Saaja nous informe de la progression de la mise en place d'une salle pour stocker les objets magiques et du recrutement de personnes pour la servir. Je ne vois pas pourquoi on devrait les sortir de la mine alors que c'est clairement l'endroit le plus sécurisé de toute la ville. Je sais que je suis le seul du conseil à ne pas faire confiance à Saaja, mais ça reste une dépense d'argent et de surface ridicule quand elle pourrait tout à fait s'aménager un bureau dans la mine !
Après ces inanités, l'attention du conseil est reportée sur la lampe que nous avions trouvé dans la crypte.
Après ouverture, il en sort de la fumée qui se transforme en une sorte de génie, tel que décrit dans certains contes écrits par le fameux auteur rumani Hezar Afsan. Il se présente comme étant Jodam le Bienveillant. Il nous annonce qu'il résidait dans la tombe depuis un voire 2 siècles, il se rappelle de l'homme qui le portait quand nous l'avons nous même trouvé.
Lui et ses frères (pas forcément de lien familiaux ?) dirigeaient un certain nombres de cités prospères dans les régions environnantes. L'un d'entre eux, Jesou l'Accompli, avait succombé et Jodam et les siens s'allièrent pour le vaincre. Ils tentèrent d'accomplir un rituel pour l'enfermer et réussirent, mais furent dupés et tous enfermés à leur tour, dans des lampes. Le nom d'accompli nous rappelle Hassessi et Jodam nous confie qu'il s'agissait d'un des siens, qui dirigeait la cité de l'éclairé, Kessalla, mais était loin de sa propre cité, Vanos, qui était en bord de mer et de montagne à la fois.
Nous abordons la question de Latia, qui était ancienne quand il était jeune. Elle aurait chaviré vers le mal après leurs emprisonnement. Il n'avait pas trop de contact avec. Darif le Magnifique était également ancien, il serait plus puissant que les rois djinns (le nom du petit groupe de Jodam) et potentiellement responsable de leur condition ampoulière... Peut être serait il interéssé par l'acquisition d'une de ses lampes ?
Evidemment, l'autre voleuse ne peut pas retenir ses mains de la lampe bien longtemps, avec l'aval des autres pour retourner l'écharde sous l'ongle. Je lui prie de bien vouloir noter autant que possible sur les informations qu'il voudra bien donner, elle compte discuter avec lui. J'espère qu'elle ne prendra pas mon opposition trop à coeur et nous apportera de vastes connaissances sur une époque trop peu connue.
Un des mes braves assistants m'accoste et m'informe qu'un groupe de campeur avait était attaqué par des sirènes alors qu'ils bivouaquaient au bord de l'eau. Leurs vivres ont été dérobés, leurs chariots emportés par les eaux et une pluie hautement localisée s'est abattue sur leur campement, laissant supposer qu'il ne s'agissait pas d'un phénomène météorologique naturel. Plusieurs camps seraient concernés par ces attaques.
29/09/818
Nous nous rendons au bord de notre lac pour tenter de communiquer avec les sirènes. La sirène bleue de l'autre fois est présente et Parwaaze joue de la cythare pour attier son attention, avec succès. La sirène se joint à elle en chantant des chansons incroyablement sinistres. Nous discutons ensuite avec, et Nico leur offre de la nourriture qu'elle semble beaucoup apprécier. Elle dit s'appeler Leyli, et que notre présence semble les déranger. Elle nous rappelle également que nous devions enquêter sur la grande pile au centre du lac, comme elle serait envahit d'étranges hommes poissons (qui n'auraient supposément rien à voir avec des sirènes).
02/10/818
Nous rentrons ensuite à Ondanera pour nous préparer à aller sur l'île en question. L'erefin, Venza, nous dit qu'il pense que les siens seraient sur l'île, ou proche de cette île.
J'en profite pour apposer un verrou magique sur la mine, ayant récupéré les matériaux nécessaires récemment. Seuls moi et mes 3 acolytes supérieurs pourront ouvrir la porte, permettant une meilleure surveillance de nos ressources et me permettant de savoir exactement quand Saaja compte venir se servir dans nos réserves magiques.
Commentaires