Gnomes

La variante gnome de la sous-espèce homo sapiens pumilionis a la même vision thermographique, le même hélix auditif pointu et la même espérance de vie accru, que la sous-espèce primaire.La sous-espèce se démarque par ses poils, sa taille réduite et sa musculature. Les métavariantes gnomes n'ont pas les poils caractéristique de leur espèce primaire, en fait, ils n'ont pas de poils sur le corps à part leurs cheveux (en général noirs ou bruns sombre). Les nains standard sont déjà petits mais les gnomes le sont encore plus ne dépassant que rarement le mètre de hauteur (la moyenne se situe plutôt autour des 85 centimètre). Leur poids moyen est d'environ 30 kilogrammes à cause de leur musculature dense. Ces muscles associés à leur petit gabarit leurs donnent une force supérieure à ce que l'on pourrait croire même s'ils restent plus faibles que les humains standards.

Seule une culture limitée peut se développer au sein d'une population si réduite, spécialement si cette dernière doit déjà se battre pour survivre dans un monde qui n'est pas à sa taille. Les naissances en Europe centrale et en Asie Mineure, où leur nombre reste le plus élevé, sont rarement assez proches les unes des autres pour réellement former des communautés. Surmontant ce manque de proximité, les gnomes ont trouvé des niches dans beaucoup d'environnements urbains, spécialement dans les ombres.Ils semblent tous prendre les réflexions sur leur taille comme des compliment et sont, presque toujours, de bonne humeur, voire joyeux.

Du fait du petit nombre de gnome, il existe peu de résultats de tests comparatifs standardisés. Le consensus général tiré d'entrevues et de données personnelles est qu'ils développent des caractéristiques mentales similaires à celle de leur espèce primaire. La vraie différence se situe au niveau d'une résistance arcanique dont la cause reste à découvrir.