S02 - E10
General Summary
Personnages : Linnea, Nyhm, Quick, Thuldek, Snikkit
À la Baie-des-Loups, ils firent la connaissance d’un jeune homme qui leur fournit quelques informations. Et surtout. que Le Courlis était un membre important des Blanserres, et le rencontrer n’était pas à prendre à la légère.
Ils eurent une longue discussion avec lui. Ses intérêts pour les manuscrits semblaient purement pécuniaires : la revente. Il n’en possédait pas lui-même, mais savait qui en détenait possiblement. Il échangea cette information contre un droit de regard sur les manuscrits. C’est ainsi que le nom de la Mère-du-Venin entra dans la conversation. Cette sorcière des bas-fonds aurait accès à des manuscrits.
Ils parlèrent aussi un peu de Fazardel. Le Courlis ne se cacha pas d’être le commanditaire de son enlèvement. Il mentionna que Fazardel les avait contrariés dans le passé et que c’était sa manière à lui de payer sa dette. Il considérait l’incident clos, et souhaitait que cela serve de mise en garde.
Le groupe ne faisait aucunement confiance aux Blanserres, mais pour l’instant cet arrangement les satisfaisait. Ils se dirigèrent vers les taudis, là où la Mère-du-Venin avait sa demeure.
La sorcière ne démentit pas les rumeurs selon lesquelles elle possédait des manuscrits. Mais elle était très inquiète quant à leur sécurité. Les héros voulaient rapporter les manuscrits à la Bibliothèque des Songes. La sorcière leur révéla que c’était précisément de là qu’ils avaient été volés. Alors qu’ils réfléchissaient à cette révélation, elle ajouta des propos plus troublants encore. Elle leur demanda s’ils étaient prêts à apprendre les vérités que les manuscrits pouvaient leur révéler. Étaient-ils prêts à découvrir leur propre mort ? Et si leur vision du monde changeait à jamais après leur lecture ? Vers quoi Ennui dirigeait-il la Dormeuse à travers le Cauchemar ? Plusieurs personnes semblaient espérer que ces écrits leur apporteraient le secret des Éclats divins, le pouvoir de les contrôler. La sorcière lança une dernière mise en garde : elle affirma que ces manuscrits allaient changer le monde à jamais.
Les héros n’étaient pas préparés à ce genre de questionnement, ou peut-être n’avaient-ils pas réalisé la portée de leurs gestes. Mais peu importait : ils voulaient les retrouver. La sorcière leur donna donc une tâche à accomplir : rapporter de la bile suintante d’une créature des ténèbres. Pour prouver leur valeur, dit-elle.
Ils chassèrent les créatures dans les souterrains de la ville ; Quick et Nyhm frôlèrent la mort. Mais la fameuse bile fut récoltée.
De retour auprès de la sorcière, ils eurent la surprise de se voir imposer une tâche supplémentaire. Mais ces épreuves n’étaient pas sans but : les manuscrits étaient protégés par un sortilège, et la Mère-du-Venin avait besoin de quelques composants pour le défaire.
Mais alors qu’ils quittaient la demeure de la Mère-du-Venin, une question obsédante restait suspendue dans l’air : que renfermaient réellement ces manuscrits ? Étaient-ils la clé d’un savoir ancien, oublié depuis les dieux eux-mêmes, ou bien un piège conçu pour égarer ceux qui osaient les lire ?
Résumé Vidéo
Résumé Texte
Suite à l'attaque de Loiselet par un puissant dragon de cuivre, plusieurs questions sans réponse occupaient les pensées de la Dernière Garde. Alors qu'ils marchaient sur les décombres de l'auberge, un messager vînt porter une invitation. Les Blanserres acceptait une rencontre. Le Courlis les attendaient à la Baie-des-Loups.À la Baie-des-Loups, ils firent la connaissance d’un jeune homme qui leur fournit quelques informations. Et surtout. que Le Courlis était un membre important des Blanserres, et le rencontrer n’était pas à prendre à la légère.
Ils eurent une longue discussion avec lui. Ses intérêts pour les manuscrits semblaient purement pécuniaires : la revente. Il n’en possédait pas lui-même, mais savait qui en détenait possiblement. Il échangea cette information contre un droit de regard sur les manuscrits. C’est ainsi que le nom de la Mère-du-Venin entra dans la conversation. Cette sorcière des bas-fonds aurait accès à des manuscrits.
Ils parlèrent aussi un peu de Fazardel. Le Courlis ne se cacha pas d’être le commanditaire de son enlèvement. Il mentionna que Fazardel les avait contrariés dans le passé et que c’était sa manière à lui de payer sa dette. Il considérait l’incident clos, et souhaitait que cela serve de mise en garde.
Le groupe ne faisait aucunement confiance aux Blanserres, mais pour l’instant cet arrangement les satisfaisait. Ils se dirigèrent vers les taudis, là où la Mère-du-Venin avait sa demeure.
La sorcière ne démentit pas les rumeurs selon lesquelles elle possédait des manuscrits. Mais elle était très inquiète quant à leur sécurité. Les héros voulaient rapporter les manuscrits à la Bibliothèque des Songes. La sorcière leur révéla que c’était précisément de là qu’ils avaient été volés. Alors qu’ils réfléchissaient à cette révélation, elle ajouta des propos plus troublants encore. Elle leur demanda s’ils étaient prêts à apprendre les vérités que les manuscrits pouvaient leur révéler. Étaient-ils prêts à découvrir leur propre mort ? Et si leur vision du monde changeait à jamais après leur lecture ? Vers quoi Ennui dirigeait-il la Dormeuse à travers le Cauchemar ? Plusieurs personnes semblaient espérer que ces écrits leur apporteraient le secret des Éclats divins, le pouvoir de les contrôler. La sorcière lança une dernière mise en garde : elle affirma que ces manuscrits allaient changer le monde à jamais.
Les héros n’étaient pas préparés à ce genre de questionnement, ou peut-être n’avaient-ils pas réalisé la portée de leurs gestes. Mais peu importait : ils voulaient les retrouver. La sorcière leur donna donc une tâche à accomplir : rapporter de la bile suintante d’une créature des ténèbres. Pour prouver leur valeur, dit-elle.
Ils chassèrent les créatures dans les souterrains de la ville ; Quick et Nyhm frôlèrent la mort. Mais la fameuse bile fut récoltée.
De retour auprès de la sorcière, ils eurent la surprise de se voir imposer une tâche supplémentaire. Mais ces épreuves n’étaient pas sans but : les manuscrits étaient protégés par un sortilège, et la Mère-du-Venin avait besoin de quelques composants pour le défaire.
Mais alors qu’ils quittaient la demeure de la Mère-du-Venin, une question obsédante restait suspendue dans l’air : que renfermaient réellement ces manuscrits ? Étaient-ils la clé d’un savoir ancien, oublié depuis les dieux eux-mêmes, ou bien un piège conçu pour égarer ceux qui osaient les lire ?
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