The Broken Continent/ Le continent Brisé

What is the most remote part of your world? How do you travel there?     The Broken Continent was once a flourishing land and the home of one of the greatest civilizations the world has ever known, the elves. They used their magic to build splendid cities on this continent. But the elves had rivals, the dwarves, who had mastered technology, making great war machines and destructive bombs that not only destroyed, but poisoned the air and soil. The continent of the elves suffered an apocalyptic bombardment during the conflict that became known as the War of Destruction. The land was fractured, buried under the ocean, or shattered. Only one elven city survived, thanks to the sacrifice of over two hundred mages, who used all their life force to create a great magical barrier. The last city still stands today, but it is almost unreachable. For the elves, with the help of the god of mists and cunning, covered their continent and the surrounding oceans with a constant thick mist. Thus, they were able to remain hidden, for their people are terrified of what might happen if they were discovered by the other races that now populate Alen-Sia. Now, more than thirty thousand years after the War of Destruction, after the fall of the elves and dwarves, the Humans, the Orcs, The Goblins and the Gerosi have risen. None of them knows that in the middle of the vast expanse of water that they call the Phantom Ocean is a whole continent. For the few who manage to cross this unforgiving ocean land either on inhospitable lands populated by deformed creatures, born from the bombardment of the dwarves, or they reach the last elven city, where they are well received, nevertheless the elves will not allow them to leave. At first the inhabitants of the last city will prevent them from leaving by offering them gifts, but if that is not enough, they can eliminate those who wish to leave. The elves cannot risk being discovered, for them, the survival of their species is at stake.     Version française:   Le continent brisé était autrefois une terre florissante et le berceau d'une des plus grandes civilisations que le monde est connu, celle des elfes. Ils utilisèrent leur magie pour édifier des cités splendides sur ce continent. Mais les elfes avaient des rivaux les nains qui avaient maîtrisé la technologie, fabriquant de grandes machines de guerre et des bombes destructrices qui ne se contentaient pas que détruire, mais qui empoisonnaient l'air et le sol. Le continent des elfes subit un bombardement apocalyptique pendant le conflit que l'on nomma la guerre de la destruction. Les terres furent fracturées, enfouies sous les océans, ou brisées. Seule une cité elfique survécue, grâce au sacrifice de plus deux cents mages, qui utilisèrent toute leurs forces vitales pour créer une grande barrière magique. La dernière cité se tient toujours aujourd'hui, mais elle quasiment inatteignable. Car les elfes ont, avec l'aide du dieu des brumes et de la ruse, recouvert leur continent et les océans alentours d'une brume épaisse constante. Ainsi, ils purent rester cachés, car leur peuple est terrifié de ce qui pourrait arriver s'ils étaient découverts par les autres races qui peuplent aujourd'hui Alen-Sia. Aujourd'hui plus de trente mille ans après la guerre de la destruction, après la chute des elfes et des nains, les humains, les orcs, les gobelins et les gerosi se sont levés. Aucun d'entre eux ne sait qu'au milieu de la vaste étendue d'eau qu'il surnomme océan fantôme se trouve tout un continent. Car les rares qui réussisent à traverser cet océan impitoyable atterrissent sois sur des terres inhospitalières peuplé de créatures difformes, nés du bombardement des nains, soient ils atteignent la dernière cité elfique, où ils sont bien reçus, néanmoins les elfes ne les autoriseront pas à partir. Tout d'abord les habitants de la dernière cité les empêcheront de partir en leur offrant des cadeaux, mais si cela ne suffit, ils peuvent éliminer ceux qui désirent partir. Les elfes ne peuvent prendre le risque d'être découvert, pour eux il en va de la survie de leur espèce.